L' exportation des ânes va améliorer le climat des affaires ! |
LTV a appris de sources sûres que des chinois ont exprimé
plus d’une fois, leur intérêt d’exporter les ânes mauritaniens en Chine … Mais
cette requête fait face au refus catégorique de l’actuel ministre du développement
rural, monsieur Brahim Ould M’bareck d’accorder la licence aux chinois !
Comme étant descendant de la famille émirale des Idewich ,
le ministre ne veut pas que son nom soit associé à la vente ou à l’ achat des ânes
en Mauritanie !
Son collègue des affaires économiques et du développement,
monsieur Sidi Ould Tah voit la chose autrement. Voici son argument : la
Mauritanie dispose du plus grand troupeau d’ânes sauvages dans la sous région, sans
propriétaires ! Alors, les vendre aux chinois assurerait à l’Etat une
nouvelle ressource de devises ! Il y a aussi un intérêt personnel dans tout çà :
le beau père de Sidi Ould Tah en l’occurrence l’ancien Wali Hmeyditt , détient une ONG dénommée ‘’Touche pas à mon âne’’,
avec siège à Beyrtoress ! Mais derrière la belle appellation humaniste de
cette ONG, il y a une voracité sans limites de tirer profit de ces bêtes …
En tout cas, cette histoire d’ânes, qu’elle entache ou non
Ould Mbareck , pose aujourd’hui un problème ! Comment va-t-elle finir ? LTV vous
tiendra au courant de ses péripéties … On
apprend toutefois que le point d’ exportation des ânes serait la capitale
économique, Nouadhibou où la zone franche s’ occupera de l’ acheminement en
traitant les ânes comme le premier produit national d’ exportation après le fer
dont les prix sont en chute libre sur le marché mondial ! C’ est pourquoi
Ould Loudaa joue actuellement au malade à Nouakchott … Histoire d’ânes à suivre
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