lundi 30 novembre 2015

28 novembre dans la zone franche : la fin d' un mythe !


On ne le dira jamais assez, la ville de Nouadhibou avait tant besoin de ces festivités pour sortir, ne serait-ce que durant 24heures, des mensonges quotidiens  de Ould Eddave le Polisario , fils de douanier nourri aux biens publics mal acquis avant de se reconvertir en politicien sans assise, ni électeurs ! Le ridicule ne tue pas !  C’était au moins une Leilé Vilkheir …
La décision patriotique du président de la république , monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz  de faire  de Nouadhibou le lieu d’organisation des festivités marquant le 55éme anniversaire de l’indépendance de la république islamique, réhabilite au moins ces habitants de la capitale économique  abandonnés depuis l’ arrivée de Ould Eddave à la zone franche et même bien avant , c’ est à dire depuis le dernier conseil des ministres de SIDIOCA dans leur ville!
D’ailleurs le président est allé plus loin à l’ occasion du point de presse en disant qu’il ne faut pas s’attendre à des miracles avec l’autorité de la zone franche, qui est seulement encore un ensemble de textes et projets et surtout un cadeau empoisonné …
La cérémonie de diner à Cansado, organisée par le vieux Wali de Nouadhibou  en l’honneur du président de la république et la délégation venue de Nouakchott, est un désaveu flagrant de toutes les versions présentant  l’institution de la zone franche comme une autorité ayant une préséance quelconque à Nouadhibou ! A peine Ould Eddave avait été invité à diner, assis très loin du président de la république comme un pestiféré envahisseur ! On prête  au vieux Wali , des croyances superstitieuses qui  considèrent que Ould Eddave ne porte pas bonheur à Nouadhibou , encore moins à la zone franche elle même ! 28 novembre à Nouadhibou est un SOS présidentiel pour une ville qui se meurt …

Mais, une seule nuit  dans la splendeur, vaut mieux qu’une misère éternelle  (Leile vil Kheir Ekheir MIN Wahde Mahi Vih ) 

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