Avec Mariem Mint Mohamed Fadel Ould Dah , épouse du président de la république Mohamed Ould El Ghazouani , la Mauritanie a eu pour la première fois une première dame cultivée et bien formée parce chirurgien dentiste et commandante dans l’ armée nationale !
Tout en travaillant dans l’ombre, Mariem ne se montre que rarement, à l’ occasion des cérémonies officielles contrairement aux épouses des chefs d’Etats précédents qui trempaient leurs têtes dans toutes les affaires du pays, afin d’influencer les décisions importantes du gouvernement !
Au fil du temps, les first ladies de Mauritanie entretenaient des rapports très différents avec les pouvoirs successifs de leurs maris. Pendant que Mariem Daddah était omniprésente dans les prises de décision de Moctar , Sadia Taya s’ occupait plus de la tenue vestimentaire de son époux président , sans s’ immiscer dans les affaires publiques ! Plus tard, Mint Tolba s’est beaucoup exposée en tirant profit du pouvoir marital, pour placer certains ministres cousins ou affiliés !
Pendant que Tekeyber Aziz , s’ est surtout consacrée aux mondanités et au clientélisme , Mariem Ghazouani a jusqu’ ici joué à l’ intellectuelle en tissant les discours les plus glorifiants pour la Mauritanie et sa diplomatie en panne !
Femme du monde instruite et engagée, Madame Ghazouani a rompu avec le statut monotone de maitresse classique du palais ocre dans l’ombre du président, pour faire évoluer les dossiers diplomatiques de la politique étrangère très chère au président de la république !
Faire évoluer les dossiers diplomatiques de la politique étrangère très chère au Président et chère à nous tous mauritaniens car la politique étrangère devient une priorité vu les risques d’insécurité qui nous entourent de tous les côtés, notre pays risque de devenir une arène de combats entre puissances étrangères, et malheureusement nos affaires étrangères sont très mal coiffées car Oul Merzoug n’en a pas le calibre ni l’esprit, il est ailleurs dans les rêves, ses ambitions sont les apparitions médiatiques, vestimentaires, pour cacher ses insuffisances et ses complexes vis-à-vis de ses collaborateurs. Une autre explication du fait que Oul Merzoug reste aux affaires étrangères est que Oul Ghazouani voudrait montrer aux étrangers que la Mauritanie applique de la discrimination positive en nommant comme ministre une personne de la communauté Haratines dont les mauvaises conditions de vie dans les Adwabas et les zones rurales sont observées par nos partenaires dans leurs projets et programmes, malgré les efforts faits par le Gouvernement à travers l’Agence de solidarité TAAZOUR. On sait que la diplomatie est bien tenue par nos ambassadeurs compétents en étroite relation avec le Président Ghazouani et son directeur de Cabinet expérimenté et que le ministre des affaires étrangère Salem Oul Merzoug, faible, absent, stérile, incapable de discours, a plutôt des activités de gesticulations, d’exhibitionnisme. Malgré les dizaines d’années où il a bénéficié de nominations en discrimination positive comme Haratine, Oul Merzoug n’est pas encore arrivé à réaliser comme les autres aucune crédibilité sociale, ni politique, ni professionnelle. Les autres ont pu créer des partis, ou être élus comme maires ou députés ou tout simplement experts privés reconnus dans un domaine. Oul Merzoug n’a rien réalisé de tout cela. Toute son ambition est d’occuper une fonction qui coûte cher à l’Etat en salaires, costumes, voyages, alors que ses frères Haratines croulent dans les Adwabas sous le poids des corvées, de la faim et des séquelles de l’esclavage. Toutes les composantes de la nation sont mobilisées pour s’occuper de ces pauvres populations (à travers Taazour, la société civile, les privés, le Président de la République lui-même…). Oul Merzoug doit aller au terrain pour vivre les malheurs de ses frères et participer à ces grandes actions en cours. Actuellement, un paysage prometteur se dessine avec les élections récentes, les réalisations du Gouvernement, mais Oul Merzoug , dans ce paysage, constitue vraiment un cheveu dans la soupe.
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