Le singe entra en jeu et leur dit : « de mémoire
de guenon-mère, les singes qui symbolisent la vulgarité et les propos aussi
insultants, ne sont jamais arrivés là où vous
êtes venus, vous hommes de culture et de grandes manières soit disant… »
Le monde est aujourd’hui à l’ envers car c’est le singe
maintenant qui apprend aux autres, les bonnes manières ! Mais avec cela il
risque d’oublier son métier de singer l’officier de brigade, Hassena et les
autres espèces !
La communauté des singes risque en effet de perdre son gagne
pain en entendant au quotidien ce genre de propos rudimentaires qu’aucun singe
des plus moches n’aurait pensé à produire, même contre l’ennemi le plus juré de
Khoumsanne !
Pour le maire, il est malheureux de noter que les fils de ‘’grandes
tentes’’ de ce pays admettons, n’arrivent pas à meubler leur temps qu’en
singeant les singes que nous sommes !
Hassena et Ould Sneiba ignorent que des échanges
épistolaires par poèmes interposés ont été entièrement épuisés, par Mohamed
Ould Heddar du Trarza et Lehweiyfidh du Chargh !
C’est une leçon culinaire où tous les termes utilisés par
les cuisinières du Chargh ou du Trarza , ont été évoqués par les deux
poètes !
Le singe faisant sa dernière grimace à Hassena et Sneiba ,
leur rappelle qu’ ils n’ atteindront jamais
les belles manières des deux hommes qui s’ insultent à travers l’
échange poétique de haut niveau et ont su se venger l’ un de l’ autre , sans
recourir aux insultes et aux coups de ceinture !
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