Dès sa prestation de serment, sidioca makhlouâ (déchu) nomma n’importe qui et n’importe où, à la tête des missions diplomatiques mauritaniennes à l’étranger.
A Washington, capital des supers puissants, il nomma un badaud du nom de Dia Ibrahima, comme si les haal poulaar ne comptent pas des grands intellectuels dignes des postes d’ambassadeurs, surtout aux USA. Ley.
Personne ne connaissait ce Dia là en Mauritanie. Il aurait été un employé dans une organisation internationale en activité en Abidjan (Cote d’Ivoire).
Le voilà aujourd’hui, qui se permet de démissionner, alors qu’il se savait révoqué d’office, pour incompétence et mauvaises mœurs (homosexualité). Il cohabite actuellement avec son bien aimé à la résidence de l’ambassade de Mauritanie à Washington DC.
Puis Sidioca makhlouâ, nomma Lematt Mint Ewnen, la spécialiste des commérages dans les baptêmes, comme ambassadeur à Paris, comme si Sarkozy s’intéressait aux mauresques voilées. Et il y en a de plus intelligentes que Lematt.
Quant à la voleuse de bijoux, la Mounina Mint Abdoullah, elle se la coule douce dans les milieux genevois, comme ambassadeur extra vulgaire et pleine de poussière de Sidioca makhlouâ, auprès du gouvernement helvétique et des organisations internationales.
Elle passe tout son temps à composer du tebraâ sur Sidioca.
Les exemples du choix minable de notre ex président malgré lui, ne manquent pas.
D’ailleurs l’ère Sidioca makhlouâ (déchu), par sa durée éphémère, ressemble beaucoup à l’empire centrafricain. Et s’il y’a des bokasseries à Bangui, nous avons des si-dio-caries en Mauritanie.
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