Les employés du public et du privé particulièrement ceux de la SNIM écrivent sans cesse à Lakhbaar Tebgue Vi Dar pour se soulever contre la composition du nouveau bureau de la Confédération Nationale du Patronat de Mauritanie (CNPM) qui, dénoncent-ils est loin d’être représentatif des employeurs réels.
On ne le dira jamais assez en effet, la montagne a accouché d’un pigeon. Parmi tous les membres du nouveau bureau élu, aucun n’est réellement employeur. Ce sont des "m’as-tu vu" à la recherche des intérêts égoïstes et du profit au détriment de la stabilisation des prix.
Par exemple, "Ould El Waled et fils" n’emploient personne et on connaît le coût de l’hôtel TENADI en chantier depuis plus de dix ans. Personne n’y est jamais rentré. Leur bureau de représentation WIMEX ne sert que de repères aux pratiques peu indiquées.
Quant à Ould Ebnou dit Oujoku de l’époque transition, il a joué le même coup de Ould Waled à Tinguinte avec un hôtel jamais fréquenté.
Il faut dire ici que la combinaison des Waled est toute particulière : Ould Mohamed Ali le pigeon administrateur général de la SNIM devenu patron des patrons (de mon œil) est marié à Mint El Waled, et l’un des autres Waled est marié à la "belle-fille" de Ould Ebnou. Voila comment ils ont accédé par un chemin le plus court au bureau du patronat.
Les autres membres du bureau ne méritent même pas de commentaires. Ley.
Les vrais patrons de la Mauritanie ont été marginalisés, mais, tôt au tard, leur tour viendra parce qu’Allah fera régner nécessairement la justice. Ce jour là viendra quand les pouvoirs publics cesseront de s’immiscer, chaque fois, dans le choix du bureau du patronat.
Un bon patronat bien dirigé ne constitue aucune menace pour le pouvoir et n’a pas besoin d’être muselé.
Les vrais patrons qui emploient des centaines de mauritaniens et qui sont bardés de diplômes, n’ont rien de commun avec l’actuel bureau cuvée Ould Deyah dit monsieur BAC moins cinq. Ley
On ne le dira jamais assez en effet, la montagne a accouché d’un pigeon. Parmi tous les membres du nouveau bureau élu, aucun n’est réellement employeur. Ce sont des "m’as-tu vu" à la recherche des intérêts égoïstes et du profit au détriment de la stabilisation des prix.
Par exemple, "Ould El Waled et fils" n’emploient personne et on connaît le coût de l’hôtel TENADI en chantier depuis plus de dix ans. Personne n’y est jamais rentré. Leur bureau de représentation WIMEX ne sert que de repères aux pratiques peu indiquées.
Quant à Ould Ebnou dit Oujoku de l’époque transition, il a joué le même coup de Ould Waled à Tinguinte avec un hôtel jamais fréquenté.
Il faut dire ici que la combinaison des Waled est toute particulière : Ould Mohamed Ali le pigeon administrateur général de la SNIM devenu patron des patrons (de mon œil) est marié à Mint El Waled, et l’un des autres Waled est marié à la "belle-fille" de Ould Ebnou. Voila comment ils ont accédé par un chemin le plus court au bureau du patronat.
Les autres membres du bureau ne méritent même pas de commentaires. Ley.
Les vrais patrons de la Mauritanie ont été marginalisés, mais, tôt au tard, leur tour viendra parce qu’Allah fera régner nécessairement la justice. Ce jour là viendra quand les pouvoirs publics cesseront de s’immiscer, chaque fois, dans le choix du bureau du patronat.
Un bon patronat bien dirigé ne constitue aucune menace pour le pouvoir et n’a pas besoin d’être muselé.
Les vrais patrons qui emploient des centaines de mauritaniens et qui sont bardés de diplômes, n’ont rien de commun avec l’actuel bureau cuvée Ould Deyah dit monsieur BAC moins cinq. Ley
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