Contrairement aux autres banques de la place, la Banque pour le Commerce et l’Industrie (BCI) n’est pas gérée comme une boutique de fils à papa, loin s’en faut. Le Président Directeur Général de cette institution bancaire est un autodidacte qui a accumulé son argent par la sueur de son front, son honnêteté et sa persévérance dans la recherche de l’innovation et du développement pour son pays. C’est un patriote au vrai sens du terme.
La BCI n’a rien à avoir avec les banques style boutique tribale.
C’est une banque digne de ce nom avec des services pour satisfaire la demande de ses clients et même les clients des autres banques. Il ne vend pas du vent, au contraire, elle veille à la bonne marche de ses transactions et à la protection des intérêts de sa clientèle nationale et étrangère.
Durant les dix dernières années, la BCI a réussi à établir des relations de confiance et d’avantages matériels avec ses partenaires étrangers.
Sans se limiter aux activités bancaires, elle investit d’énormes ressources dans le secteur privé notamment la recherche pétrolière, l’exploration minière, l’approvisionnement des populations en eau potable dans les régions les plus reculées ou enclavées, grâce à la réalisation de forages.
Elle est également omniprésente dans tous les projets d’investissement sur l’ensemble du territoire et même hors de nos frontières comme au Mali par exemple.
Isselmou Ould Tajedine son Présent Directeur Général n’attend pas les défis mais il les surmonte suivant une stratégie et un calendrier bien établis, loin des pratiques traditionnelles des banques de la place.
L’année 2007 aura été marquée de l’avis de tous les observateurs financiers du pays et économistes conseillers dans les banques mauritaniennes, par le rayonnement de la BCI à travers la modernisation et la célérité de ses services (guichets automatiques de distribution de billets de banque, réalisation du siège moderne de haut standing, services en ligne, serveur vocal, réseaux d’agences, etc.
La BCI est également citée comme exemple de réussite dans le secteur privé et les promoteurs de la délégation mauritanienne chargée de la promotion des investissements privés, ne tarit pas d’éloges à son égard.
Au-delà de son succès et de l’estime que force son PDG, il faut dire que Isselmou Ould Tajedine s’investit dans le social en apportant des aides substantielles pour contribuer à la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Bons augures en perspective pour l’année 2008 qui commence aussi bien pour la BCI !
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