Les médiocres journalistes peshmergas ont pris les commandes de la presse officielle en Mauritanie à savoir la radio, la télévision , l’ agence mauritanienne d’ information (AMI) et la haute autorité de la presse et de l’ audiovisuel (HAPA) ! En effet, la prestigieuse vieille institution de radio Mauritanie a été confiée à Mohamed Cheikh , le tristement célèbre directeur des organes de presse indépendants’’ El Bouchra et la vérité’’ ! Mohamed Echeikh est un journalisant de l’ancien système de Ould Taya , que Louleid Ould Weddad avait utilisé pour les besoins de propagande du régime , puis jeté en pâture aux services de renseignement de l’ ex redoutable DES , le commissaire Deddahi ! Aujourd’hui, c’est le Général Misgharou qui le recycle pour le placer à la radio , mais le DGSN semble oublier que les services du vieux Mohamed Echeikh sont périmés !
A l’agence mauritanienne d’information, vous avez le cancre Mohamed Vall Ould Oumer(le faux Oumer) , le fameux barbouilleur de la Tribune ! A ce poste, il a été nommé grâce à l’appui de l’ ex PM Ould Cheikh Sidiya qui , lui-même ne sait pas comment il a atterri à la primature , si l’ on met de coté les services célestes très occultes de El Vekhama , qui dit-on aurait parrainé l’ ascension du premier , premier ministre de Ghazouani !
A la télévision, on a aujourd’hui, Ould Belmaali , ex directeur de Nouakchott-info de Cheikhna Ould Nenni , l’ ambassadeur de Mauritanie à Dakar et oncle de la première dame ! Apparemment, ce diplomate- journalisant est influent dans l’actuel régime, parce que ce serait grâce à lui aussi que Houssein Ould Meddou vient d’être nommé président de la haute autorité de la presse et de l’audiovisuel ( HAPA) ! On se souvient que l’actuel président de la HAPA était directeur de publication de Akhbaar Nouakchott et son correspondant permanent !
Ce sont donc des peshmergas au pouvoir parce que Ould Oumere(AMI) , Mohmed Cheikh(Radio Mauritanie) , Belmaali(TVM) et Meddou(HAPA) , ce sont des anciens peshmergas , des mendiants ingrats sur lesquels s’ appuie le régime actuel de Ould Ghazouani qu’ ils vendront dés que l’ occasion leur sera donnée ! On ne doit pas impliquer des journalistes dans la gestion des affaires de l’Etat parce qu’il doit toujours y avoir une distance critique entre le pouvoir et la presse …
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