Le ministre de l’économie et des finances, monsieur Mokhtar
Ould Diaye se réunit depuis ce lundi avec les partenaires techniques et
financiers de la Mauritanie pour exposer les priorités du gouvernement dans la
perspective de mobiliser les ressources nécessaires au financement des projets
et programmes du gouvernement pour l’année 2017 !
Il faut rappeler que ce conclave, le premier du genre en ce
début de l’année , intervient dans un contexte économique morose marqué par le
manque de financements extérieurs du fait de la crise économique mondiale
doublée d’un niveau drastique de l’endettement de notre pays !
Sidi Ould Tah l’ancien Deymani devenu soudanais, n’a pas quitté l’ex MAED sans avoir mis à
genoux tout le département de l’économie à cause de l’ardoise de plus 4
milliards de dollars de dettes engloutis dans des projets bidons !
L’Etat continue aujourd’hui à payer les frasques de ce vrai faux expert en développement,
reconverti en spécialiste d’élevage d’ânes !
Avec cet héritage miné, la mission de la nouvelle équipe de
Ould Diaye s’avère difficile en dépit de l’assainissement des finances
publiques déjà réalisé à travers la
réduction du déficit du budget qui passe
désormais de 3% à moins de
1 % !
Cette performance de la Mauritanie, a été saluée par nos
bailleurs de fonds, la banque mondiale et le FMI en l’occurrence qui étaient réticents
face à l accroissement du déficit budgétaire !
Pendant ce temps, le ministre délégué au budget, monsieur
Kembou dépense sans compter les recettes de l’Etat !
Dés l’ouverture de Rachad , les mandats se négociaient à la
tête du fournisseur et on parle de huit milliards d’ ouguiyas validés dans la
première semaine du mois de février , selon des sources proches de Niang
Djibril l’ actuel directeur du budget , prédateur de l’ imprimerie
nationale selon Sidi Ould Domane !
Il faut ajouter que 2017 serait une année budgétaire faste,
avec un budget qui s’élève à plus de 680
milliards d’ouguiyas dont 200 milliards dépendent des financements extérieurs
encore à mobiliser ! Cela aiguise déjà les appétits des budgétivores de l’
UPR tels que Sidi Ould Domane de l’imprimerie nationale, Mohamed Mahmoud Ould
Jaavar de Iskan , ATTM de Ould Elveirik , la zone franche de Ould Eddaf et
Tadamoune de Hamdi Ould Mahjoub, l’ ex
avocat qui viole aujourd’hui le droit administratif en refusant de partir à la
retraite , tant qu’il y a encore des séquelles
du budget destiné aux adwabas ! A suivre