''Tout le monde s’en va, moi je reste'' telle semble être la
devise de la ministre déléguée aux affaires africaines et maghrébines et des
mauritaniens à l’étranger, madame Mint Mbareck Fall !
Mais quel secret de stabilité pour cette petite dame,
ancienne secrétaire très particulière de feue Jemila Mint Taya ex consul du
Canada à Nouakchott ! Celle qu’on peut appeler désormais madame –croque- ministres
(elle est à son troisième MAEC), n’a aucune référence intellectuelle valable, qui justifie sa nomination à ce
poste … Mais le fait de devenir ministre est une banalité désormais, me diriez vous !
Certains de ses collègues émancipés se demandent si elle peut
leur indiquer son marabout-sorcier grâce auquel elle garde sa place au conseil
des ministres ?
On sait qu’elle est issue de la région du fleuve connue pour
l’efficacité de ses recettes sorcières, Bogué en particulier ! Il ne faut pas s’attendre cependant à ce qu’elle
partage ses secrets de longévité …
Il semblerait que sa silhouette et son nom disparaissent du
pays à chaque remaniement ministériel pour réapparaitre au conseil qui suit le
changement ! C’est pourquoi on l’appelle désormais la ministre déléguée auprès
du président de la république, parce qu’elle l’accompagne dans les sommets
alors que le ministre de tutelle est bien présent et bien portant (voir le
dernier sommet de l’UA) !
Son dernier séjour à Genève pour participer au conseil des
droits de l’homme, a coïncidé avec un événement d’importance historique, à
savoir le festival culturel des Adwabas dans les zones rurales du pays où
Neyfara et tamtams ont fait ravage ! Mint M’bareck Fall a manqué l’événement,
pour danser son rythme favori ! ley En tout cas , parler à Genève des droits
humains devant des pionniers initiés comme Ould Youssouf et Haless , c’ est
apporter une pierre à la montagne !
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