C’est le nullard redoublant du gouvernement , atteint de la mouve-mania ! Au-delà des
sorcelleries et maraboutage, l’outil tangible de Mohamed Ould Boilil pour
occuper le poste de ministre de l’intérieur, est sa trahison d’Ahmed Ould
Daddah en 2006, lors des législatives, quand il arracha la députation de Rosso,
sous la barbe de Boidiel le
Pantagruel !
Boilil fut Hakem , mais il a oublié ce stade de sa carrière
, puis Wali , ce qu’ il oublia aussi …
Donc, un ministre de l’intérieur sans expérience, parce que
dés sa nomination de ministre , il a subi une métamorphose totale ! Il a
dit à ses amis qu’il est né ministre pour rester ministre et rien
d’autre !
Les moments de sa vie qui précédent le Mint , sont
complètement effacés de sa mémoire et de celle de ses courtisans !
Les négro-mauritaniens l’appellent le Harnos à la solde des maures,
mais Ould Boilil déchiffre ce sobriquet comme suit : le Hartani Patriote
courageux !
Quelle que soit la
version des uns et des autres , il y a un fait établi que personne ne peut remettre
en question : Boilil est atteint d’ une maladie incurable qui s’ appelle
la mouvemania , parce que chaque jeudi sur trois , il trouve toujours au
conseil de ministre , une raison de faire avaler au gouvernement , un mouvement
de l’ administration territoriale . c’ est pourquoi, les Walis ont une peur
bleue du communiqué hebdomadaire sanctionnant les travaux du conseil des ministres,
surtout son paragraphe suivant : « en fin le conseil des ministres a pris
les mesures individuelles suivantes : wali Mouçaid , hakem de Boumdeid ,
etc. … »
Le ministre a trouvé une combine extraordinaire, pour caser
le maximum de copains dans l’administration territoriale en créant des postes
de directeurs de cabinets du Wali, de conseillers du Wali , de chargés de
missions du Wali et d’’ attachés auprès du Wali !
Comme accoutrement, Ould Boilil ressemble à un docker en grève,
portant une tenue de chez Kharchy , importateur national de friperie ,
catégorie B du 5eme arrondissement !
Le MINT aurait rajeuni trois fois pour échapper à la retraite,
mais ses jours sont comptés car la grogne des walis maltraités l’attend au
tournant !
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