Le 12e sommet de l’OUA qui vient de se terminer à Addis-abeba n’en aura pas été un, en fait.
Sur les 53 chefs d’Etats, 22 seulement étaient présents, dont un seul maghrébin : Kadhafi qui a été élu roi des rois de l’Afrique.
En plus de ce titre farfelu, les leaders africains présents ont, procédé au changement du nom de la commission africaine, qui devient autorité tout simplement. Donc, aucun résultat tangible. Même Jean Ping dormait à table.
Les participants à ce sommet bidon se sont montrés racistes envers la Mauritanie , en décidant d’être plus cléments à l’égard du capitaine guinéen, qu’avec le général de Mauritanie.
Pourtant, ce sont deux coups d’Etat militaires qui se ressemblent.
Où ira maintenant l’Afrique sous Kadhafi, le roi des rois, durant 2009. En tout cas, avec Kadhafi, « l’Afrique est mal partie ». D’ailleurs, Jean Ping ne peut plus parler de retour à la constitutionalité, parce que la Libye qui préside désormais l’UA, n’a ni constitution, ni institutions démocratiques, ni élections libres et transparentes, ni droits de l’homme, ni presse indépendante. Rien de tout cela. Alors que vont-ils maintenant reprocher à la Mauritanie et à la Guinée ? Ley !
Sur les 53 chefs d’Etats, 22 seulement étaient présents, dont un seul maghrébin : Kadhafi qui a été élu roi des rois de l’Afrique.
En plus de ce titre farfelu, les leaders africains présents ont, procédé au changement du nom de la commission africaine, qui devient autorité tout simplement. Donc, aucun résultat tangible. Même Jean Ping dormait à table.
Les participants à ce sommet bidon se sont montrés racistes envers la Mauritanie , en décidant d’être plus cléments à l’égard du capitaine guinéen, qu’avec le général de Mauritanie.
Pourtant, ce sont deux coups d’Etat militaires qui se ressemblent.
Où ira maintenant l’Afrique sous Kadhafi, le roi des rois, durant 2009. En tout cas, avec Kadhafi, « l’Afrique est mal partie ». D’ailleurs, Jean Ping ne peut plus parler de retour à la constitutionalité, parce que la Libye qui préside désormais l’UA, n’a ni constitution, ni institutions démocratiques, ni élections libres et transparentes, ni droits de l’homme, ni presse indépendante. Rien de tout cela. Alors que vont-ils maintenant reprocher à la Mauritanie et à la Guinée ? Ley !
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