Comme on dit, houte yeblaa houte (les poissons engloutissent d’autres).
Les anciens armateurs qui étaient les chefs de file du secteur de la pêche ont succombé aux lourds fardeaux des charges et de dettes.
On peut en citer Nejachi Ould Jouba, Ould Jeilani, Fadel Ould Abeidrahmane Abass Bouguerbal, Noueigued et MAOA, et tout récemment Naha Mint Mouknass et frères.
Les nouveaux maîtres, consignataires des flottes étrangères répondent aux noms de : Meyloud Ould Eli Ould Lekhal (première flotte), Ahmed Ould Hamdi Ould Mouknass (deuxième flotte) et Maurice Benza (troisième flotte), entre autres.
Les noms changent, les flottes aussi, mais la situation du secteur demeure la même !
Les bateaux étrangers aspirateurs viennent toujours piller nos ressources halieutiques avec parfois, notre complicité ; et ils partent faire des millions d’Euro de bénéfices nets par marrée.
Pendant ce temps, les populations de Nouadhibou s’enfoncent dans la misère.
Quand un peu de poisson circule entre plus de trois mains, Nouadhibou revit, mais quand il n’y a plus de poisson, c’est la mort dans la capitale économique.
Cette situation est la même depuis les années 80 jusqu’à nos jours.
Les walis se sont succédés, les délégués maritimes aussi, les différents ministres de pêche ont faits de beaux discours dans lesquels ils ont promis ciel, mer et terre. Mais rien n’est fait à ce jour.
La dernière couleuvre qu’on a fait avaler aux gens de Nouadhibou est celle de la création d’un pôle de développement, et on n’a rien vu non plus.
Nouadhibou ne vit pas d’agriculture, ni d’élevage. Elle dépend uniquement de la mer, donc de la pêche et de l’impact de la pêche. Pas de pêche, pas de Nouadhibou, parce que même les employés de la SNIM vivent en réalité de la pêche.
On a beau dire que c’est notre capitale économique, mais il suffit de saboter le secteur de la pêche pour que tout disparaisse.
Il ne faut pas demander aux étrangers qui viennent piller la ressource, de développer la ville de Nouadhibou à notre place. Il ne faut pas non plus s’attendre à ce que les représentants mauritaniens des sociétés de pêche étrangères, investissent les royalties qu’ils perçoivent pour le bien être de la ville, parce que tout simplement ils ne sont pas de Nouadhibou.
Demander par exemple à Meyloud Ould Eli Ould Lekhal de cultiver des palmiers à Kraa nesrani, serait mal à propos. Alors qu’il a ses zriba à Aghsseissila, à Atar. Maurice Benza, lui, fait beaucoup à Akjoujt, et rien de plus normal.
Ahmed Ould Mouknass, quant à lui, est de Nouadhibou. Et lui revient de réaliser les projets économiques durables pour régénérer des revenus au profit de la population de Nouadhibou, et aider ses concitoyens à El Ghirane.
Il lui revient également de poursuivre en justice Ahmed Ould Meni qui a détourné l’argent de la famille Mouknass en complicité avec d’autres petits voleurs mesquins et ingrats.
De toute façon, le secteur de la pêche n’existe plus que sur papier. Et Sy Adama, l’actuel ministre des pêches est complément déboussolé.
Pour mieux faire, il doit consulter les archives pour prendre connaissance de la nouvelle politique de pêche qui avait été élaborée en documents majestueux (nouvelle politique de pêche), du temps de l’ex ministre des pêches monsieur Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, aujourd’hui président de la République.
Ce document n’a jamais été mis en œuvre parce que, Sidioca ne veut pas toucher aux intérêts de la Mafia du secteur.
Puisque maintenant le même Sidioca est devenu président de la République, pourquoi ne pas essayer de mettre en œuvre cette politique de pêche. Ley.
De toute façon, ce n’est pas Sy Adama, le fossoyeur de l’agence d’exécution des microprojets (projet Assaba entre autres), qui va assainir le secteur de la pêche.
Sy Adama, le ministre UDP doit être jugé pour détournement des fonds publics puisque l’occasion va se présenter maintenant avec la mise en place imminente de la haute cour de justice.
Il est urgent de trouver une solution adéquate pour arrêter le dépeuplement de la ville de Nouadhibou.
En effet, les gens sont entrain de quitter la ville pour Dakhla, Leayoun ou Nouakchott.
Petit à petit, Nouadhibou se vide de ses habitants.
La criminalité et la drogue remplacent les anciennes activités paisibles de commerce et d’emploi.
La dernière secousse sismique enregistrée dans la localité de Nouamghar va certainement avoir des conséquences graves pour la pêche, parce que, selon des études crédibles, il y’a risque d’émigration du poisson vers les zones marocaines.
L’arrêt biologique de septembre prochain doit être l’occasion de réfléchir sur des états généraux de la pêche, puisque c’est la mode aujourd’hui.
Que la terre tremble sur la côte mauritanienne ou dans les fonds marins, les armateurs mauritaniens voraces continuerons à piller nos côtes et à collaborer avec les bateaux aspirateurs étrangers jusqu'au dernier poisson, sans souci pour l’intérêt général et la préservation de la ressource. Et ce n’est pas eux qui vont trembler, quand les espèces de poissons auront émigré à cause des tremblements sur la côte. Ley.
Les anciens armateurs qui étaient les chefs de file du secteur de la pêche ont succombé aux lourds fardeaux des charges et de dettes.
On peut en citer Nejachi Ould Jouba, Ould Jeilani, Fadel Ould Abeidrahmane Abass Bouguerbal, Noueigued et MAOA, et tout récemment Naha Mint Mouknass et frères.
Les nouveaux maîtres, consignataires des flottes étrangères répondent aux noms de : Meyloud Ould Eli Ould Lekhal (première flotte), Ahmed Ould Hamdi Ould Mouknass (deuxième flotte) et Maurice Benza (troisième flotte), entre autres.
Les noms changent, les flottes aussi, mais la situation du secteur demeure la même !
Les bateaux étrangers aspirateurs viennent toujours piller nos ressources halieutiques avec parfois, notre complicité ; et ils partent faire des millions d’Euro de bénéfices nets par marrée.
Pendant ce temps, les populations de Nouadhibou s’enfoncent dans la misère.
Quand un peu de poisson circule entre plus de trois mains, Nouadhibou revit, mais quand il n’y a plus de poisson, c’est la mort dans la capitale économique.
Cette situation est la même depuis les années 80 jusqu’à nos jours.
Les walis se sont succédés, les délégués maritimes aussi, les différents ministres de pêche ont faits de beaux discours dans lesquels ils ont promis ciel, mer et terre. Mais rien n’est fait à ce jour.
La dernière couleuvre qu’on a fait avaler aux gens de Nouadhibou est celle de la création d’un pôle de développement, et on n’a rien vu non plus.
Nouadhibou ne vit pas d’agriculture, ni d’élevage. Elle dépend uniquement de la mer, donc de la pêche et de l’impact de la pêche. Pas de pêche, pas de Nouadhibou, parce que même les employés de la SNIM vivent en réalité de la pêche.
On a beau dire que c’est notre capitale économique, mais il suffit de saboter le secteur de la pêche pour que tout disparaisse.
Il ne faut pas demander aux étrangers qui viennent piller la ressource, de développer la ville de Nouadhibou à notre place. Il ne faut pas non plus s’attendre à ce que les représentants mauritaniens des sociétés de pêche étrangères, investissent les royalties qu’ils perçoivent pour le bien être de la ville, parce que tout simplement ils ne sont pas de Nouadhibou.
Demander par exemple à Meyloud Ould Eli Ould Lekhal de cultiver des palmiers à Kraa nesrani, serait mal à propos. Alors qu’il a ses zriba à Aghsseissila, à Atar. Maurice Benza, lui, fait beaucoup à Akjoujt, et rien de plus normal.
Ahmed Ould Mouknass, quant à lui, est de Nouadhibou. Et lui revient de réaliser les projets économiques durables pour régénérer des revenus au profit de la population de Nouadhibou, et aider ses concitoyens à El Ghirane.
Il lui revient également de poursuivre en justice Ahmed Ould Meni qui a détourné l’argent de la famille Mouknass en complicité avec d’autres petits voleurs mesquins et ingrats.
De toute façon, le secteur de la pêche n’existe plus que sur papier. Et Sy Adama, l’actuel ministre des pêches est complément déboussolé.
Pour mieux faire, il doit consulter les archives pour prendre connaissance de la nouvelle politique de pêche qui avait été élaborée en documents majestueux (nouvelle politique de pêche), du temps de l’ex ministre des pêches monsieur Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, aujourd’hui président de la République.
Ce document n’a jamais été mis en œuvre parce que, Sidioca ne veut pas toucher aux intérêts de la Mafia du secteur.
Puisque maintenant le même Sidioca est devenu président de la République, pourquoi ne pas essayer de mettre en œuvre cette politique de pêche. Ley.
De toute façon, ce n’est pas Sy Adama, le fossoyeur de l’agence d’exécution des microprojets (projet Assaba entre autres), qui va assainir le secteur de la pêche.
Sy Adama, le ministre UDP doit être jugé pour détournement des fonds publics puisque l’occasion va se présenter maintenant avec la mise en place imminente de la haute cour de justice.
Il est urgent de trouver une solution adéquate pour arrêter le dépeuplement de la ville de Nouadhibou.
En effet, les gens sont entrain de quitter la ville pour Dakhla, Leayoun ou Nouakchott.
Petit à petit, Nouadhibou se vide de ses habitants.
La criminalité et la drogue remplacent les anciennes activités paisibles de commerce et d’emploi.
La dernière secousse sismique enregistrée dans la localité de Nouamghar va certainement avoir des conséquences graves pour la pêche, parce que, selon des études crédibles, il y’a risque d’émigration du poisson vers les zones marocaines.
L’arrêt biologique de septembre prochain doit être l’occasion de réfléchir sur des états généraux de la pêche, puisque c’est la mode aujourd’hui.
Que la terre tremble sur la côte mauritanienne ou dans les fonds marins, les armateurs mauritaniens voraces continuerons à piller nos côtes et à collaborer avec les bateaux aspirateurs étrangers jusqu'au dernier poisson, sans souci pour l’intérêt général et la préservation de la ressource. Et ce n’est pas eux qui vont trembler, quand les espèces de poissons auront émigré à cause des tremblements sur la côte. Ley.
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