Ces derniers temps, Ahmed Baba Miske vit des nuits blanches en préparant réunions sur réunions des ADELIENS.
Depuis longtemps déjà, l’homme guignait la direction du parti de la majorité présidentielle (ADIL). Mais, c’était sans compter sur l’efficacité et la popularité d’un certain Yahya Ould Ahmed El Waghef, devenu aujourd’hui premier ministre, après avoir bien mérité.
Ahmed Baba fit un repli tactique en prêtant allégeance au nouveau président de ADIL, question de gagner du temps peut-être.
Maintenant que Yahya Ould Ahmed El Waghef s’est installé à la primature, les "Meskineries" réapparaissent. Cherche-il à remplacer le premier ministre à la direction de ADIL ? Yahya Ould Ahmed El Waghef peut-il cumuler la fonction de premier ministre avec celle de président du parti au pouvoir, à l’instar de certains de ses collègues de Maghreb arabe (Maroc – Algérie)? Pourquoi pas.
Baba Miske cherche actuellement à renouer un dialogue avec les sécessionnistes du parti pour les récupérer à son compte, mais il semble subir déjà un échec cuisant dont il a l’habitude. En effet les jeunes cadres de ADIL ne lui font pas confiance à cause de son passé surchargé de micmacs politiques et d’avenir incertain.
L’homme a intérêt à limiter ses "meskineries" au rôle de Haymassou de l’actuel locataire de palais ocre, ce qui l’occupe déjà assez bien.
Avant de chercher la tête d’un parti, Baba Miske doit d’abord chercher une base. Miskine, Ahmed Baba…
Depuis longtemps déjà, l’homme guignait la direction du parti de la majorité présidentielle (ADIL). Mais, c’était sans compter sur l’efficacité et la popularité d’un certain Yahya Ould Ahmed El Waghef, devenu aujourd’hui premier ministre, après avoir bien mérité.
Ahmed Baba fit un repli tactique en prêtant allégeance au nouveau président de ADIL, question de gagner du temps peut-être.
Maintenant que Yahya Ould Ahmed El Waghef s’est installé à la primature, les "Meskineries" réapparaissent. Cherche-il à remplacer le premier ministre à la direction de ADIL ? Yahya Ould Ahmed El Waghef peut-il cumuler la fonction de premier ministre avec celle de président du parti au pouvoir, à l’instar de certains de ses collègues de Maghreb arabe (Maroc – Algérie)? Pourquoi pas.
Baba Miske cherche actuellement à renouer un dialogue avec les sécessionnistes du parti pour les récupérer à son compte, mais il semble subir déjà un échec cuisant dont il a l’habitude. En effet les jeunes cadres de ADIL ne lui font pas confiance à cause de son passé surchargé de micmacs politiques et d’avenir incertain.
L’homme a intérêt à limiter ses "meskineries" au rôle de Haymassou de l’actuel locataire de palais ocre, ce qui l’occupe déjà assez bien.
Avant de chercher la tête d’un parti, Baba Miske doit d’abord chercher une base. Miskine, Ahmed Baba…
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