Lakhbaar tebgue vi dar a reçu de Me Ebety, pour le compte de son client Mohamed Ould Lahah une injonction à propos d’un billet qualifié de calomnieux pour cet homme d’affaire sur lequel – nous venons de nous en rendre compte après investigation – nous avons été induit en erreur.
C’est l’occasion ici de présenter à cet homme – qui ne s’occupe, d’après ceux qui le connaissent très bien que de ses affaires – nos excuses si les propos de l’article en questions ont porté préjudice à sa vie privée et professionnelle.
L’home n’est pas en effet un homme public, n’ayant jamais occupé de poste administratif ou électif ni même bénéficié pour une quelconque allégeance politique de ce que d’aucuns qualifient de prébendes accordées généralement par tout pouvoir à ses soutiens réels ou supposés, son seul tort ayant été tout de même soutenu zinzin lors de l’élection présidentielle 2007 et de méconnaître le barreau en choisissant pour avocat Me Ebety le marchand de bobards qui engage une bataille, perdue d’avance contre une organisation électronique redoutable. Boudida nte mnein ?
Nous tenons cependant à souligner que c’est le souci de réparer une erreur flagrante d’appréciation, et non la crainte d’avoir à affronter Me Ebety dans une éventuelle bataille juridique, qui nous a poussé à présenter ces excuses à M. Mohamed Ould Lahah. C’est, croyons-nous le prix à payer pour rester fidèles à notre souci de vérité et d’objectivité.
Ce souci d’objectivité et de vérité nous porte aussi à reconnaître à Mohamed Ould Lahah, d’après moult témoignages recueillis par nous, la compassion avec les déshérités, de manière générale, et la préoccupation de faire quelque chose de positif pour sa région. Nulles flagorneries de notre part, mais après avoir dit, par inadvertance, ce qui n’est pas, il n’y a pas honte à dire ce qui est.
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