dimanche 30 mars 2008

BCM : désarabisation radicale

Après le statut totalitaire et les nominations vulgaires et népotiques (frère conseiller, directeur de change cousin et dérivés…), le gouverneur de la BCM monsieur Kane Ousmane interdit l’usage de la langue arabe dans toutes les correspondances internes et externes de l’institution émettrice. Donc la langue du Coran est déclarée indésirable de facto et de juré par sa majesté impériale Kane Ousmane premier. Donc vous comprenez bien ici que désormais l’usage de la langue arabe est interdit à la Banque Centrale de Mauritanie durant cinq années (le mandat autoproclamé de Seydi Kane).
Voilà ici donc, peut être une explication aux dernières nominations "Kanées".
Mais sa majesté est actuellement à Sanaa (Yémen). Dans quelle langue va-t-il alors défendre les intérêts de la Mauritanie auprès des institutions monétaires arabes qui tiennent leurs assises annuelles dans la capitale yéménite ?
Jusqu’où iront les fantasmes BADEAens de Kane Ousmane ?
Et Sidioca dans tout ça ? Lui le garant zizi de la constitution qui stipule que la langue officielle de la République Islamique de Mauritanie est l’arabe ! Pourquoi la laisse t-il violer par un pingouin venu d’on ne sait où ? lol

Ould Yaha : je monopolise les commissions




Avant l’ère Sidioca et du gouvernement de zinzin, les investisseurs qui voudraient s’installer en Mauritanie, étaient tenus par la loi d’avoir un partenaire mauritanien, question d’encourager et de promouvoir le partenariat et la place de nos hommes d’affaires.
Dans cette politique, chacun en profite, et les étrangers et les mauritaniens ! Mais avec l’arrivée du délégué chargé de l’investissement et de la promotion du secteur privé, monsieur Mohamed Abdellahi Ould Yaha, petit commerçant ignorant qu’il est, il décida de faire table rase de tout ce qui le précédait, comme si l’univers n’existait pas avant la mise en place de cette délégation, copiée et mal copiée du Bénin, pays pépinière de cadres tous délégués à l’investissement.
Le message est claire aujourd’hui aux opérateurs étrangers qui veulent investir en Mauritanie : « Venez, mais sachez que vous n’avez pas besoin de partenaires mauritaniens. Moi Ould Yaha est le seul maître à bord chargé de vous faciliter toutes les démarches moyennant une commission que je partage avec mon Premier ministre zinzin ; venez donc nombreux, la Mauritanie zinzinienne vous attend avec les portes grandes ouvertes mais passez à la caisse d’abord et le guichet est unique : Mohamed Abdellahi Ould Yaha ». Didi Ould Biye, Sidi Mohamed Ould Amajar, entouma vem !

Communiqué du RFD

Bonjour !
Nous vous saurions gré de bien vouloir publier le communiqué ci-joint. Merci pour votre aimable coopération.Meilleurs sentiments.
Le Directeur de la Communication du RFD.

Don't acte. lakhbaartebguevidar

COMMUNIQUE
Conformément à ses principes de base impliquant la prise en charge par l’Etat du droit des citoyens à jouir de conditions de vie décentes et après avoir constaté une hausse sans précédent des prix des produits alimentaires de base ainsi que la généralisation du chômage et la propagation de la corruption, de la gabegie et du clientélisme au sein de l’administration et après avoir pris connaissance du communiqué du PAM sur les prémisses d’une famine aiguë à laquelle le pays sera confronté dans le mois à venir,

le Rassemblement des Forces Démocratiques :

- demande au Gouvernement mauritanien d’agir, sous le sceau de l’urgence, en prenant toutes les dispositions nécessaires pour faire face au spectre de famine qui menace le pays,

- attire l’attention sur le fait que le programme d’urgence, annoncé par le Gouvernement depuis quelques mois, n’a eu aucun impact positif connu ce qui traduit le manque de sérieux chez les autorités en charge de ce plan,

- sollicite auprès de l’ensemble des pays frères et amis et des bailleurs de fonds leur diligente contribution aux efforts visant à faire face à cette menace de famine.

Nouakchott, le 19 mars 2008

Le Comité Permanent


بـــــــيان

انطلاقا من مبادئه الثابتة الداعية إلى تكفل الدولة بحق المواطنين في التمتع بعيش كريم، وبعد ملاحظة الارتفاع الغير مسبوق لأسعار المواد الاستهلاكية الضرورية والانتشار الواسع للبطالة وتفشي الرشوة والفساد والمحسوبية في هياكل الإدارة و تدهور الأوضاع الأمنية، خاصة فى المدن الكبيرة، وبعد الاطلاع على إعلان برنامج الغذاء العالمي عن بوادر مجاعة حادة ستصيب البلد في أفق الأشهر القليلة القادمة،

فإن حزب تكتل القوى الديمقراطية

- يدعو الحكومة الموريتانية للتحرك سريعا من أجل أخذ كافة الاحتياطات اللازمة لمواجهة شبح المجاعة المخيم على البلد،
- ينبه على أنه لم تسجل أي نتائج إيجابية تذكر للبرنامج ألاستعجالي الذي أعلنت عنه الحكومة منذ أشهر مما يترجم انعدام المسؤولية والجدية لدى السلطات المكلفة بهذه الخطة،
- يوجه نداء عاجلا إلى كافة الدول الشقيقة والصديقة وهيآت التمويل الدولية من أجل المساهمة الفعالة في الإعداد لمواجهة خطر هذه الكارثة.

انواكشوط، 19 ربيع الأول 1429 هـ الموافق 27 مارس 2008 م

اللجنة الدائمة

samedi 29 mars 2008

Réaction à Merzoug, langue de barbarie ou la vraie affaire des vallées fossiles, publiée par chikhrassou

Le pauvre Merzoug : ses vrais faux problèmes Je ne connais pas bien cette personne auprès delaquelle je suis intervenu pour un ami. Sa réponsesèche m'a beaucoup contrarié à l'époque .C'est humainet naturel. Après coup ,je me suis rendu compte quetant sur le fonds que sur le principe il avais raison..Après l'avoir vilipendé sur le coup de la colère,je lui ai présenté mes excuses .Sa réponseapparemment fruit d'une arrogance contenue n'en étaitpas moins courtoise .Il m'a dit en substance << mercipour ta franchise cela fait partie des contraintes etdes servitudes de l'exercice des responsabilitéspubliques....en tout état de cause m'a t-il dit jemets un défi quiconque de faire baisser mes yeux. Acet effet ,je suis disposé a tout débat à toutediscussion, en tout lieu, et en tout temps, enpublic, ou en privé, avec des journalistes, ou desorganisations de la société civile sur tout ce qu'ilspeuvent me reprocher. Pourquoi se cacher ? Quelle quesoit la personne qui me confie a ce débat je meprêterai avec joie a cet exercice)) Et, on en estresté la suite, je l'ai rencontré chez Behnass à quiil pressentait ses condoléances après le décès de feuleur père ex sénateur de Zoueirat Il m'a dit commentallez-vous, j'espère que vous continuez votre quête dela vérité. Notre pays en a besoin .Je lui ai ditj’essaierai, il m'a répondu ((continuez- allez aufonds des choses. Par ici, on préfère la délation sansraison et mensonge .Mais la vérité finit toujours partriompher)) c'est pourquoi en lisant un spot intitulé:MERZOUG la langue de barbarie: la vraie affaire desvallées fossiles. En lisant cet article je prenaistrès au sérieux ce qui est développé dans ma quête dela vérité .Les choses évoquées pêle-mêle retenaientl'attention:reconduction illégale, vallée fossiles,traîtrise, mensonge attribués à un président.Concernant le mandat dans le spot il est écrit que lareconduction est ((en flagrante violation de son acteconstitutif)) et qu'elle ((est contre toute logique dereconduction de reconduire un Haut Commissaire mêmemauritanien à plus d'un mandat)).Dans les faits, laconvention portant création de l'omvs a laquelle sereferez le spot dispose sans équivoque en son article11 le Haut Commissariat de l'organisation est dirigépar un Haut Commissaire. Nommé par la conférence deschefs d'états et de gouvernement pour une durée de 4ANS renouvelable)) il est claire qu'un HautCommissaire peut être reconduit à volonté donc sanslimitations de mandat. Par ailleurs, j'ai posé la question à un ancien HautCommissaire Malien qui m'a dit que c'est non seulementlégal mais, que le Mauritanienne à ses yeux méritaitla confiance renouvelée. Cernant Maître WADE, seloncet ex premier responsable de l’organisation, c’est àlui que revenait l’initiative en sa qualité présidenten exercice de la conférence des chefs d’état et degouvernement. En tout état de cause, ce rôle estdévolu depuis bientôt 2ans au président Malien ATT.Enfin comme le dit le spot lui-même ((le ridicule netue plus)) en effet, concernant la trahison .Cettequestion m’a beaucoup intéressé dans la mesure ou j’aisuivi toute l’affaire. Les discussions avec les cadresdu ministère de l’hydraulique, de la Sonader, de laSomelec m’ont convaincu …….La sécurité de la gestionde la source n’a jamais été aussi garantie dans ladurée grâce semble t-il à la charte des Eaux dufleuve Sénégal et un système de suivi plus sérieux.Ils dit d’une voix que l’actuel Haut Commissaire àmis terme à toute initiative unilatérale qui expliquel’absence de crise depuis longtemps, maintenant ilsemble que le verrouillage doit continuer avec lafixation des seuils, en cours de lancement des projets selon les régimes juridiques définis par la charte du28 Mai 2008.Concernant les Haratines, j’ai évoqué lecas de cette personne avec les dirigeants d’EL HOR .Il m’ont fait signifier de voir ailleurs .Cettepersonne n’a jamais milité dans EL HOR même après cesdeux scissions dans les années 80 ET 90 .jesoupçonnais cet état de fait; Mais compte tenu de laduplicacité de nos hommes politiques, je voulais enavoir le cœur net. Par contre selon sesinterlocuteurs, il semble être proche du MND, tendanceBedredine .Je voulais dans ma quête de la vérité faireces investigations .Nous devrions collectivement mais,en toute objectivité, secouer nos cadres en lesconfondants avec des faits et les yeux dans les yeux..J’avais tellement voulu que les arguments juridiquessoient fondés pour acculer le pauvre MERZOUG les yeuxdans les yeux, mais, Je continuerai.

La BCM de Seydi Kane Ousmane


Quand il remplaça zinzin à la tête de la Banque Centrale de Mauritanie (BCM), Kane Ousmane arrêta sa stratégie pour devenir maître absolu de l’Institution émettrice.
D’abord il fut avaler au président de l’ex-actuel-CMJD un statut lui garantissant un mandat de cinq ans. Eh oui, aucun recours aujourd’hui pour le faire bouger de la BCM !!!
Après, il installa confortablement les siens : d’abord il nomma son propre frère Kane Ali comme conseiller particulier (un bon lathiri commence par soi-même !).
Au poste très sensible de la comptabilité de la Banque Centrale de Mauritanie, il nomma son cousin Ba Adama Daouda.
A la direction stratégique de change, il nomma un certain Ba Samboly, un outsider qui n’était pas employé à la BCM.
Pour mieux consolider son pouvoir, il désigne monsieur Wane, un autre cousin comme directeur administratif adjoint avec les pleins pouvoirs.
En plus de ce népotisme flagrant, le gouverneur Kane se tailla également un salaire de plus de trois millions d’ouguiyas par mois et la prise en charge totale des frais d’études à l’étranger de tous ses enfants ! Et le tout est statutaire, mesdames et messieurs !
Donc, dans le nouveau statut-Kane Ousmane de N’teikane, la BCM est exclusivement une affaire de famille. Soyez moins gourmand seydi Kane et n’oubliez surtout pas qu’il y’a beaucoup de gens qui agonisent aujourd’hui dans la famine, tout en contemplant de loin la nouvelle façade majestueuse de la BCM. Mais ça c’est une autre affaire sur laquelle nous reviendrons pendant que le népotisme-Seydi Kane continue à la BCM.

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SOCOGIM : Diallo Amadou Bathia, conseiller principal à la Présidence collectionne les ordres de missions avec perdiems et fait main basse sur la socié


Diallo Amadou Bathia ne chôme pas à la présidence à coté de son Sidioca (SI iDIOt que ÇA !).
Cette ancienne éminence grise de Djibril Ould Abdellahi dit Cinpère, le plus puissant ministre de l’Intérieur que la Mauritanie ait connu de son histoire, ne se gène pas à puiser dans les caisses de l’Etat, comme bon lui semble.
Bathia, ce plus grand crapule du monde vient de jouer un coup extraordinaire au contribuable mauritanien : il s’est fait désigner délégué de la SOCOGIM à la conférence francophone de l’habitat qui devait se tenir le 25 février dernier à Paris.
Un ordre de mission lui a été établi par la SOCOGIM avec six cent soixante quinze mille ouguiya (675.000 UM payé par chèque Chinguiti-Bank) de perdiems, en plus d’un billet aller-retour en classe affaire (sept cent trente mille ouguiya 730.000 UM) acheté à l’agence d’Un Air, avec une réservation le 22 février et un retour prévu le 3 mars 2008. A noter que Bathia devait être accompagné par le directeur général de la SOCOMGIM dans les mêmes conditions. Mais pourquoi un ordre de mission de quinze jours et un perdiem faramineux pour une réunion qui prend 24 heures au maximum ? Soueili Ould Salem et Bathia sont des responsables malhonnêtes. Pour Bathia, ce n’est pas ici une nouvelle pratique (madhalou yasrag !).
Il faut dire ici que Bathia président du conseil d’administration de la SOCOGIM n’a jamais fait ce voyage du 22 février pour prendre part à la réunion préparatoire du réseau-habitat francophone qui a eu lieu le 25 février, parce qu’un autre ordre de mission avec un autre perdiem colossal lui a été établi par le Secrétariat Général du Gouvernement pour accompagner son Sidioca à Banjul, où il est resté jusqu’au 29 février 2008.
Mais Bathia avait déjà un troisième ordre de mission pour accompagner le ministre de la justice monsieur Limam Ould Téguédi à Genève, pour une mission liée aux droits de l’homme. Bathia a effectivement voyagé ici avec le garde des seaux et a bénéficié d’un billet Nouakchott-Paris-Genève-Paris-Nouakchott sur frais de l’Etat. Mais comment surtout justifier la mission de la SOCOGIM ? Notre Bathia, le conseiller principalement malhonnête prétend qu’à son retour de Genève, il a eu des consultations le 30 février à Paris avec les responsables du réseau de la conférence francophone pour l’habitat. Mais cela justifie t-il l’argent encaissé ?
Monsieur Bathia n’a jamais été à la journée de l’habitat le 22 février 2008.
Tout en bien gardant le perdiem déjà décaissé par la SOCOGIM, il se présenta à l’agence d’Un Air qui lui remboursa son billet. Il faut ajouter à ce détournement de l’argent de la SOCOGIM, que le fameux Bathia est un voleur gros calibre parce qu’aujourd’hui, il possède la moitié du patrimoine de la SOCOGIM grâce à la complicité des différents directeurs qui se sont succédés à la tête de la société et en particulier Soueidi Ould Salem l’actuel DG, tristement célèbre pour ses propos très dévoués à Ahmed Daddah, candidat malheureux du RFD aux dernières élections présidentielles : « vous savez, je dis bien haut à eljezeera que seul Ahemd Ould Daddah est capable de diriger la Mauritanie grâce à ses grandes qualités de militant de première heure, de cause patriotique alors que Sidi Ould Cheikh Abdellahi est un incompétent au passé controversé ». L’histoire a-t-elle donné raison aujourd’hui à Soueidi qui est loin, en tout cas d’être un weli ? Peut-être.
Mais Soueidi se rappelle t-il ses propos tenus le soir 23 mars 2007 sur la chaîne eljezeera ? En tout cas cette cassette enregistrement eljezeera est dans les archives du RFD.
Sidi Ould Salem, l’actuel DG de la SOCOGIM semble avoir ensevelis ses propos de campagne sous la fondation des concessions des rangées de boutiques et de maisons SOCOGIM appartenant à Diallo Amadou Bathia et qui font face à l’ISERI. Le tout avec la bénédiction du ministroncule Ould Bilal qui est actuellement entrain d’encourager la désobéissance à l’ordre public en programmant de légaliser des gazras fictives à Arafat. Cette histoire est actuellement en "cuisson" par nos enquêteurs. Mohamed Lemine Ould Moulaye Zeine, ente vem !
(A suivre également le limogeage du chargé de mission, Mohamed Ould Dey par le DG de la SOCOGIM Souedi Ould Salem)

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Affaire ENER et la GX de fonction de Sidi Ould Domane




L’ancien directeur adjoint de la SONADER mourante, monsieur Soueidi Ould Domane ex-compagnon traître de Mohamed Khouna Ould Haidalla durant la campagne présidentielle de 2003, devenu ensuite ex-actuel-éminence grise du président du CMJD puis président par mépris du conseil d’administration de l’ENER, s’est fait volé sa voiture de fonction qui lui a été affectée par cet établissement (Toyota GX 4x4 immatriculée 21 74 AL 00, de couleur blanche.)
Un jour, Soueidi téléphona à l’ENER en criant : « Ma GX a disparu, l’avez-vous vue ? »
C’est ainsi que son complice l’actuel directeur général de l’ENER engagea des recherches théâtrales.
Mais le directeur financier de cet établissement pour l’entretien routier, monsieur Sidna Ould Bourouess n’est pas de cet avis : il rappelle que la GX en question n’est pas facile à voler parce que, dernier modèle de Toyota (2007), et elle est en plus, équipée de toutes les options anti-vol.
Les mauvaises langues disent que Souedi l’aurait utilisée autrement. Recherchons donc Toyota 4x4 n° 21 74 AL 00, un patrimoine national. Pas d’issue pour vous monsieur Ould Domane. A suivre


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vendredi 28 mars 2008

Ministre de l’intérieur : Yall Zakariya, va-t-il "en-FLAMER" Sidioca ?


Il ferait mieux d’être Hakem de Moudjéria par les temps qui courent !
Le département qu’il dirige mal aujourd’hui, à l’aide de connexions secrètes avec les FLAM a plutôt besoin d’un homme a poigne et de barbouzes par les temps qui courent ! Surtout un ministre qui sait distinguer entre les vrais et les faux "BR".
Un ministre capable d’imposer ses instructions à tout le commandement territorial, ce qui n’est pas le cas de Yall le sympa !
Madame Yall n’avez-vous pas fait des remarques sur l’accoutrement de votre mari :
Parfois il s’habille en wali, tantôt en berger de troupeaux de vaches et parfois en marabout.
Dans tout ce qu’il fait, Yall Zakariya commence toujours par la fin ! Bizarre…
Le ministre n’oublie pas ses cousins et alliés dans les nominations à l’administration territoriale, surtout dans la région du fleuve, côté Gorgol et Brakna où il a nommé beaucoup de négro-mauritaniens aux postes de Hakem et de Wali Mouçaid. Pourquoi ? Allez-y savoir.
Sidioca se rendra bientôt compte que Yall n’est pas un homme de confiance parce qu’il fera inéluctablement du dossier des réfugiés une bombe à retardement.
Qui vivra verra ! Avec Yall, Sidioca (SI IDIOt que ÇA !) est actuellement assis sur une braise qui va inévitablement en-"FLAMER" la "Mauritanie unie" passant par Khattou elle-même, Abdily, Zinzin, Amajar, Moïssa Fall, Waghef, jusqu’à Messoud Ould Boulkheir, Ba Mbaré et le colonel Eweiliyine Ould Houeichi – Et bon débarras alors !

jeudi 27 mars 2008

Ministre de l’Energie : A quand la fin du duel Messoud/Sidioca ?


Incontestablement Oumar Ould Yali ressemble plus à un maître d’école à la retraite.
Il s’habille chez la friperie de Kherchy. Il est titulaire d’un des plus grands ministères et des plus complexes parce que combinant l’énergie, l’hydraulique et les technologies de la communication.
Mais l’homme ignore totalement le genre d’activités que couvre son département.
On l’a vu même à la TVM à la Tawila reconnaître : « je ne sais pas si telle chose relève de mon ministère ! »
Quelle honte pour un ministre pourtant chargé de notre approvisionnement en eau et électricité !
Les directeurs de la SNDE et de la SOMELEC lui tournent aujourd’hui le dos parce qu’il ne les appelle que pour avoir de l’argent pour compléter les fonds qu’il détourne sans cesse pour l’achat des maisons à Tevragh-Zeina (il est à sa quatrième. Villa. Moulaye inte hem !)
Alors ne parlons même pas du projet du siècle (Aftout Essaheli) parce que, ce moualim mouçaid est incapable de connaître l’impact socio-économique de cette œuvre titanique.
On dit dans les milieux de l’APP que Sidioca aurait convoqué Messoud Ould Boulkheir pour attirer son attention sur la conduite incroyable du ministre Ould Yali qui devient propriétaire foncier à une vitesse vertigineuse (par le truchement de prête-noms selon les services de renseignement), alors que tous les membres du gouvernement ont déclaré leurs patrimoines avant d’entamer leurs portefeuilles.
Messoud a tout simplement répondu : « Monsieur Ould Yali est comme tous les autres ministres, anciens, actuels et futurs qui passent tout leur temps à acheter et construire des maisons ».
Et Messoud d’ajouter : « regardez votre entourage monsieur le président, avant de voir mon ministre. On peut tout reprocher à Ould Yali sauf ça ! »

mardi 25 mars 2008

Wali de Nouadhibou : les folies de grandeur d’un nain


Ould Horma, l’actuel wali de Dakhlet Nouadhibou était pourtant connu pour être un homme correct et modeste.
Mais Nouadhibou, la belle capitale économique lui a monté à la tête malheureusement, surtout depuis que la ville a été déclarée par le duo sidioca-zinzin comme zone autonome, lors du premier conseil des ministres réuni hors de Nouakchott et facturé aux contribuables mauritaniens à plus de 200 millions d’ouguiyas. Quelle folie de grandeur pour ce petit wali qui moisissait à la direction des collectivités territoriales du ministère de l’intérieur avant la transition qui le propulsa secrétaire d’Etat à l’état civil.
Chaque matin, le petit Abdi déjeune avec la viande d’un chamelon cuite à l’étuvée. Il dédaigne l’odeur du poisson !
Comme déjeuner, le wali nain mange des quartiers de chevreaux aux dattes.
Quant aux gens de Nouadhibou, il leur tient un langage hautain : « ici l’autorité suprême c’est moi, tous les gens de Ehel Sahel doivent être apprivoisés s’ils ne respectent pas l’administration ».
Répondant aux critiques selon lesquelles il aurait détourné les vivres destinés aux éleveurs, il répond : « pourquoi avez-vous besoin de fourrages, le poisson n’en mange pas et vous n’avez pas d’animaux ? Las palmas est à coté, alors importez ce que vous voulez et laissez moi réfléchir à la nouvelle cité phare de l’économie mauritanienne ».
Les gens de Nouadhibou pensent que Ould Horma est un déréglé parce que Nouadhibou est une ville morte depuis le changement du 3 août 2005 quand tous les armateurs ont mis la clé sous le paillasson. Allez-y voir ! Seul le sifflement du train rappelle qu’il était une fois Port Etienne ou Nouadhibou ville propre !

Premier ministre zinzin, témoin direct de sa décadence


C’était vendredi dernier à la fin de la prière à la mosquée El Atigh (La plus ancienne de la capitale)
Le premier ministre Zeine Ould Zeidane était là avec son aide de camp.
Il y’avait dans la foule un homme d’un franc-parler désobligeant. L’homme regarda d’abord et constate que cette fois, personne ne s’approche du premier ministre pour le saluer, comme à l’accoutumée.
Il montra zinzin du doigt puis se retourna à sa gauche où il y’avait, parmi les fidèles entre autres, Meyloud Ould Lekhal, Ould Nouegued, Ould Jily, donc les gens qui étaient très actifs et ont beaucoup investi dans la campagne du Premier ministre Ould Zeidane (zinzin).
L’homme s’adressa ainsi à la foule : « Regardez, vous êtes tous des pauvres gens. Vous avez soutenu ce minable devenu aujourd’hui Premier ministre grâce à vous ! Mais le fait que vous ne le saluez pas démontre que vous avez compris votre bêtise et mieux vaut tard que jamais ! Toute la Mauritanie regrette comme vous d’avoir ce type là comme Premier ministre. Qu’Allah nous libère de ses griffes ! »
Zinzin a certainement entendu ces propos qui montrent que sa côte n’a jamais dépassé zéro et qu’elle va aujourd’hui vers moins 15%. Zinzin serait d’ailleurs déjà à la recherche d’un emploi à la BADEA (Banque pour le Développement Economique en Afrique).

La marine nationale va-t-elle interpeller N’diaga Dieng sur l’affaire du douanier Alpha Tandia ?

C’est un marin qui répond au nom de Alpha Tandia. Il était en service à Nouadhibou avant sa "disparition".
On apprend aujourd’hui que l’homme en question n’est rien d’autre que l’actuel chef de visite du bureau des douanes de l’aéroport de Nouakchott.
Comment a-t-il atterri à la douane ?
Certaines sources généralement très bien informées, signalent que c’est une des décisions dictatoriales du colonel N’diaga Dieng ex-directeur général des douanes, qui le recruta directement comme inspecteur des douanes et l’affecta à Rosso (vivons cachés, vivons heureux !) Mais la marine chercherait actuellement son agent déserteur.
Avec l’arrivée de l’empereur Mohamed Ould Mohamedou à la direction générale "transitoire" des douanes, monsieur Alpha sortit de sa clandestinité et a été affecté comme chef de visite au bureau des douanes de l’aéroport de Nouakchott.
Comme il est absolument nullard dans le domaine douanier, il s’est trouvé une très bonne excuse pour être à l’abri du soleil : Tandia reste à la mosquée pendant les heures de travail.
Mais il vise parfois des bons à enlever entre deux prières, moyennant des modiques montants. Il pense, par ignorance, que le fait de commettre des forfaits à l’intérieur d’une mosquée, le met à l’abri des pêchés !
Décidemment, le colonel Mohamed Ould Abidine Sidi n’a pas de chance à l’aéroport de Nouakchott. Il se trouve pris en tenaille entre deux canailles : Abdel Baghi le schizophrène officier de brigade et Tandia le marin transformé en faux douanier. Pourtant Ould Abidine Sidi mérite mieux.

lundi 24 mars 2008

Les prix augmentent Sidioca et KB changent d’air à Damas


Eh oui, au moment où les prix des denrées des produits de première nécessité enregistrent une augmentation sans précédant, notre premier "Monsieur" et notre première "Madame" partent à la découverte de la capitale des oméyades et ses belles architectures.
Damas regorge de tout ce qu’il y’a de plus beau pour meubler son temps (musées, palais, bijoux, etc.)
La première des "premières dames", madame KB joint toujours l’utile à l’agréable tout en découvrant les secrets des capitales visitées (à titre d’exemple la visite folklorique de l’île de Gorée lors du dernier sommet de l’OCI à Dakar, avec le cortège de gaspillage à outrance de l’argent du contribuable mauritanien en complicité avec le criminel Ahmed Ould Belal, ambassadeur à Dakar). Elle fait du marketing continu pour la fondation KB.
Sidioca quant à lui, brillera à Damas par l’absence de ses autres collègues chefs d’Etats arabes qui boudent un sommet dont l’échec est assuré d’avance.
Les ordres sont déjà donnés par la maison blanche pour ne pas résoudre la crise libanaise à Damas !
Les habitants d’Ajouer (environs de Boutilimit), connus par la sagesse de leurs propos cherchent à chiffrer chaque voyage de Sidioca, de KB et leurs suites.
Le coût de l’un de ces voyages peut subventionner pendant une année les prix des produits de première nécessité (lait, sucre, farine, riz, etc.)

Communauté Urbaine de Nouakchott : Troisième répudiation d’Ahmed Ould Hamza par le RFD


Dans la charia islamique, quand on vous divorce une troisième fois, nous devenez "interdit" (haram) ; il vous faut vous remarier, pour être récupérable.
C’est ici le cas de Ahmed Ould Hamza, le flamboyant président de la communauté urbaine de Nouakchott.
Il parait qu’il a quitté de nouveau le RFD avec lequel il avait déjà divorcé deux fois en rejoignant Maaouiya, c’était à la mode d’ailleurs…
Maintenant qu’il est bien installé dans le fauteuil de la communauté urbaine, il n’a plus besoin du label RFD. Que cherche t-il au juste ? Peut être qu’il prépare le terrain pour rejoindre le futur parti de son cousin Ely.com.
De toute façon, tout le monde sait que Ould Hamza est le prototype de la versatilité politique.
Pour l’instant, il y’a une brouille qui se développe entre lui et les réformistes islamistes qui lui reprochent son attitude contre la prolifération des mosquées à Nouakchott.
Et comme charité commence par soi-même, il aurait fermé la mosquée du siège de la communauté urbaine
(à suivre Hamza et Dragui-Transport, PIZZARNO avec trois milliards d’ouguiya par an !)

Ghrini, le gaffeur


L’homme était parti à Nouadhibou pour inaugurer le nouveau siège du PRDR.
A son arrivée vers les locaux, il tomba des nues en voyant les militants et militantes exhibant les portraits de l’ancien président Maaouiya, président à vie du PRDS et même du PRDR.
Alors Grini laissa la cérémonie sur conseil de son bel oncle monsieur Elva Ould Boidiya dit El Mohguine (passe-partout) et va porter plainte chez le Directeur Général de la Sûreté, le commissaire Ahmed Ould Mohamed Vall, frère d’Ely.com.
Grini exigea l’arrestation de ses propres militants pour avoir porté les photos de Maaouiya. Quel paradoxe !
Pourtant, ce Ghrini lui-même est une création de toutes pièces par Maaouiya Ould Sid'Ahmed Taya, qui le nomma ministre alors qu’il était entrain de danser gueyra (rythme folklorique atarois) puis ambassadeur à Tunis, en Arabie Saoudite et au Caire.
Donc il doit tout à Maaouiya alors qu’il criminalise aujourd’hui la détention de son portrait ! Quelle ingratitude monsieur Ould Mohamed Vall (Ghrini) !
Tout le monde a certes lâché Maaouiya, mais aller jusqu’à mettre en prison ceux qui sont en possession de ses portraits, c’est trop, parce que beaucoup de mauritaniens possèdent aujourd’hui, les photos de l’ex-chef d’Etat. Même à la présidence de la République, il y’a les portraits de tous les présidents qui se sont succédés, de Moctar Ould Daddah à Maaouiya Ould Sid'Ahmed Taya. Ils sont exposés à l’entrée du palais. Allez-y donc monsieur Grini, l’ingrat, porter plainte contre Sidioca dont c’est ici le seul point positif !

dimanche 23 mars 2008

Ould Yaha ou "La misère" du Gouvernement


Le délégué chargé de l’investissement et de la promotion du secteur privé (comprenez délégué comique) à une mission difficile par les temps qui courent : faire rire zinzin au quotidien en se moquant de tous les ministres !
Sa dernière victime a été le ministre de l’Economie et des Finances monsieur Ould Hama Vezaz, dit le ministre travailleur.
Mohamed Abdellahi Ould Yaha, le délégué comique lui aurait dit ceci, lors d’une prestation conjointe : « monsieur Ould Hama Vezaz, apprenez à être correct si vous voulez être ministre. Tout d’abord venez à l’heure et prenez la peine de vous peigner les cheveux. Votre tête est clairsemée de gazras. Mon épouse qui est pourtant une vedette ne se présente jamais à moi sans les cheveux peignés mais elle peut venir en retard. Vous par contre, vous venez en retard et vous ne vous peignez pas les cheveux, mon Dieu !»
Eclats de rires dans la salle. Fier de son coup, Ould Yaha regarde malicieusement du coté du PM zinzin qui était bien content qu’on ramasse si copieusement son rival Ould Hama Vezaz.
L’autre refrain de Ould Yaha (vrai ou faux) est qu’il chante à longueur de journées : « moi je ne suis pas comme vous messieurs les ministres misérables ; je ne touche pas de salaires et je n’en ai pas besoin. Je fais du volontariat pour sauver mon pays».
Le plus grave encore est que Ould Yaha a des folies qui les conduiraient à la privatisation de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) et ce n’est pas à exclure parce qu’on a enterré Air Mauritanie et le délégué comique n’a même pas pris la peine de venir pleurer (ne serait-ce que de façon comique) sur ce tombeau de l’un des symboles de la souveraineté nationale. C’est vraiment une blague de mettre Ould Yaha à la tête de la promotion du secteur privé parce que l’homme est un guignard.
Ses plaisanteries de mauvais goût ne font rire que zinzin qui a déjà le fou rire !
Tout le monde sait que Mohamed Abdellahi Ould Yaha a coulé toutes les sociétés privées qu’il a dirigées en commençant par le bateau de son oncle. Comment peut-il alors promouvoir le secteur privé ?
Les coréens qui vivent aujourd’hui sous une tente de fortune en face de l’ambassade de chine à Nouakchott sont le miroir du passé et du présent de ce Ould Yaha. Mais ça c’est le sujet des prochaines yaharies (Nouegued junior, affaire Daewoo Mauritanie, MIP Pêche, etc.)

Envoyez vos commentaires à notre email : lakhbaartebguevidar@yahoo.fr

mercredi 19 mars 2008

L’administrateur directeur général de la SNIM : Mohamed Ali Ould Deyahi dit l’ex-beau-frère d’Ely.com


Extraordinaire est le chemin de cet hélicoptère à la vitesse du son !
Mohamed Ali Ould Deyahi était un simple employé du service du personnel de la SNIM et il en devient aujourd’hui l’administrateur directeur général. Incroyable mais vrai, l’homme BAC-6, c’est lui-même qui gère aujourd’hui un empire industrialo-minier !
C’est apparemment un ancien contrat social rompu depuis plus d’une décennie qui a été plus que payant pour Ould Deyahi.
En effet, on se rappelle que ce Mohamed Ali Ould Deyahi là, a été marié à l’une des sœurs de l’épouse de Ely Ould Mohamed Vall, président sortant (mais pas complètement sorti !) du CMJD.
Zeinabou Mint Nah, épouse de Ely.com a réussi également à placer l’un de ses beaux frères, monsieur Moustapha comme ambassadeur à Khartoum. Elle n’a pas non plus oublié le mari de l’autre sœur, monsieur Jemal alias Ely Ould Mohamed Vall "Taiwan" (comprenez ici la moustache).
Mais c’est Ould Deyahi qui a eu le gros lot avec le poste très convoité d’administrateur directeur général de la SNIM ou comme on dit à Zouératt, le président de la République bis. Parce que, diriger la SNIM c’est régner sur un empire avec des dizaines de ramifications allant de la recherche minière à l’exploitation passant par le tourisme et les ponts et chaussées.
Sur quelle base et au nom de quoi ce ex-employé du personnel de la SNIM, a-t-il été parachuté à la tête du poumon économique de la Mauritanie ?
Même à Ouad Naga, fief de sa collectivité tribale (Tagounanett) il est vomi et pour preuve, lors des dernières élections présidentielles, quand il a soutenu Sidioca dans cette Moughataa et environs, Ahmed Ould Daddah a obtenu aux deux tours plus de 90% des voix. Ici les chiffres parlent plus haut que les paroles, n’est-ce pas ? Mohamed Ould Didi Ould Zein Ould Mauripost, ente vem !
Ould Deyahi n’a rien à offrir et n’a rien offert.
Cet homme de paille des tagounanett est aujourd’hui entre deux avions en chérissant ses faramineux traitements et autres royalties.
En bon Harpagon, il dort sur la mélodie des billets de banque neufs.
Mais l’homme est entrain de conduire aujourd’hui la SNIM vers la liquidation totale, une fois le contrat de la privatisation signé avec l’indo-britannique (Meetal). Le fait qu’il soit toujours enfermé dans son palais-mouette à Cansado, nourrit des rumeurs si étranges que lakhbaar tebgue vi dar évite d’en parler pour le moment.
A suivre de très près…

Etfou Sidi Ould Domane : l’indicateur à tout vent.


Bizarre ! Voici encore le sacré Sidi Ould Domane qui survit au bric-à-brac subi par le palais ocre après l’intronisation de sidioca. En effet, tous les conseillers et chargés de missions limogés ont perdu les présidences des conseils d’administration qu’ils avaient.
Seul Sidi Ould Domane reste à ce jour président du conseil d’administration de l’ENER. Décidemment, cet établissement public n’a pas de chance depuis sa création.
Aujourd’hui, il est dirigé par les deux plus grands prédateurs "des temps modernes" : il s’agit de Sidi Mohamed Ould Mohamed Lemine (directeur général) et ancien directeur du bâtiment au ministère de l’Equipement quand on l’appelait monsieur "commission de 15 millions" pour tout marché d’entretien de bâtiments de l’Etat et, Sidi Ould Domane alias le jassouss de tous les régimes.
Sidi le jassouss + Sidi Mohamed le voleur = cercueil pour l’ENER.
Mêmes les goudrons commencent à craquer à cause de leur présence, et plus Ould Domane continue à présider l’ENER, plus le réseau routier s’écroule.
Apparemment, les "BR" de Sidi rapportent gros pour un contenu des plus médiocres !
L’homme a plusieurs officiers traitants et il trahit toujours chacun. Domane faisait ce travail de mouchard du temps où il agonisait comme DGA à la SONADER.
Le directeur financier de cette société, monsieur Kane n’a pas encore réglé d’ailleurs les ardoises laissées par Sidi Ould Domane le barbouzin. Haidalla, ente vem…
Il est injuste que tous les ex-conseillers de la présidence pourtant plus intègres, perdent leurs avantages alors qu’un mouchard nage dans les biens du contribuable mauritanien et préside aux destinées de l’entretien routier de tout le pays. Dommage, les Kounta méritent mieux que Sidi Ould Domane !

Ahmed Ould Bekrine au Ministère de l’intérieur.

On parle beaucoup ces jours-ci d’un séisme politico-militaire à l’échelle 16 de Richter. Dans ce volcan, l’actuel chef d’Etat Major de la Gendarmerie, le Colonel Ahmed Ould Bekrine est pressenti pour être ministre de l’Intérieur, de la Décentralisation et de l’Aménagement du Territoire (nouveau département).
Dah Ould Hamadi Ould Mami quitterait la douane pour être chef d’Etat Major de la Garde Nationale, après la honte que vit actuellement le corps.
On apprend de même source que l’actuel directeur général des douanes, monsieur Ould Mami, très déchanté dans les milieux mafieux de l’import, était en partance pour un stage à l’étranger.
On parle du tristement célèbre colonel Aliyine Ould Hweichi El Mezagui dit Bousseilimete El Kedhab à la direction générale des douanes. Quel malheur pour tout le commerce mauritanien !
De toute façon, Eweiliyine est encore très occupé par la recherche de son identité tribale.
Au-delà de cette valse des officiers, une autre affaire plus ou moins similaire peut éclater un jour après celle de la garde : il s’agit du budget de la gendarmerie nationale.
Mais il y’a une autre chose que le citoyen mauritanien est en droit de savoir : l’utilisation des caisses noires.
Seules les traces de ces fonds à leur sorti du Trésor Public sont connues. Comment ont-ils été utilisés ? Personne ne le sait ou ne doit le savoir, alors qu’il s’agit de plusieurs centaines de millions.
Les caisses noires existent à l’Etat Major National, à l’Etat Major de la Gendarmerie Nationale, à l’Etat Major de la Garde, au BED, à la DGSN, au Ministère de l’Intérieur et à la Présidence.
Il faut vraiment et le plus rapidement possible baliser leur utilisation, pour limiter les détournements de l’argent public par des officiers supérieurs qui terrorisent actuellement la Nation depuis le coup de force du 3 août 2005 et son cortège de malheurs pour le peuple mauritanien qui mérite et attendait mieux que sidioca et zinzin, son fils spirituel.

lundi 17 mars 2008

Merzoug - langue de barbarie : la vraie affaire des vallées fossiles.


Depuis quand et pourquoi un chef d’Etat de l’OMVS, en l’occurrence le président Sénégalais Abdoulaye Wade, demande-t-il et obtient la reconduction d’un haut commissaire de l’organisation, en flagrante violation de son acte constitutif qui stipule que le poste de haut commissaire est rotatif entre la Mauritanie et le Mali, le Sénégal ayant le siège de cette organisation ?
Lors du dernier sommet de Dakar, qui a reconduit Mohamed Salem Ould Merzoug pour la deuxième fois à la tête de cette organisation sous-régionale, Abdoulaye Wade s’est transformé en véritable griot pour fabriquer des louanges imméritées à l’endroit de Ould Merzoug, un traître de la Nation mauritanienne.
On sait que Ould Merzoug n’est pas à son premier forfait.
Sous Ould Taya déjà, il a vendu la cause haratine et la lutte des droits de l’homme contre le poste de commissaire à la sécurité alimentaire.
Cette fois, il s’agit d’une affaire plus grave, celle qu’on peut appeler la vraie affaire des vallées fossiles.
Sur demande de son nouveau maître monsieur Abdoulaye Wade, Ould Merzoug a autorisé l’ouverture des vannes pour que le fleuve coule sur le Sénégal en détournant la ville de Saint-Louis qui, dit-on, était menacée d’inondation.
Cette ouverture irrégulière du fleuve par la langue de barbarie a été mijotée durant le règne de l’ex-CMJD qui ne comprenait rien à l’importance de l’enjeu pour l’avenir de la Mauritanie. Le ridicule ne tue plus !
Sous Ould Taya, on a emprisonné l’ex-commissaire Baba Ould Ahmed Youra sur la base d’une fausse information alors qu’on est aujourd’hui entrain de glorifier Ould Merzoug pour une vraie trahison !
Il faut dire que l’OMVS n’est pas à sa première ni à sa dernière affaire.
Déjà, du temps où elle était l’OERS (Organisation des Etats Riverains du Sénégal), c'est-à-dire le Sénégal, la Guinée, la Mauritanie et le Mali, Ahmed Ould Daddah en était venu presque aux mains avec l’ancien président guinéen, feu Sékou Touré.
Mais, c’était le contraire de Merzoug parce que Ahmed Ould Daddah tenait à la préservation des intérêts de la Mauritanie. Pourtant, Sékou Touré était redoutable.
Il est contre toute logique de reconduire un haut commissaire même mauritanien soit-il, à plus d’un mandat. Sinon, il sera un corrompu entre les mains du Sénégal, des bailleurs de fonds et les soumissionnaires étrangers pour les marchés juteux de l’organisation.
Apparemment, les intérêts de la Mauritanie sont mieux préservés par les hauts commissaires maliens. Dommage !
Dans tout cela, il y’a cependant un point positif pour Ould Merzoug : c’est que l’argent qu’il reçoit en bradant les intérêts de la Mauritanie, il l’investit dans l’acquisition des villas cossues à Nouakchott.

Direction de la pharmacie et du laboratoire : le bourreau des faibles.


Depuis qu’il a été parachuté à la tête de la direction de la pharmacie par les militaires de l’ex-actuel-CMJD, Hamoud a fermé toutes les pharmacies gérées par des pauvres.
Comment peut-il laisser l’émir du Trarza Ahmed Salem Ould H’bib ouvrir une pharmacie en face de la clinique Chiva alors qu’il n’a comme référence pharmaceutique que le fait d’être le fils de l’émir H’bib. Cela est-il un critère pour ouvrir une pharmacie ?
Pour faire du mal aux pauvres, Hamoud s’est appuyé sur une commission de corrompus, sorte de mafia qui rançonne le secteur pharmaceutique.
Vous payez, on vous laisse ouvrir. Vous refusez, on vous ferme.
Dans tout cela, Hamoud et sa fameuse commission ont désinformé le ministre de la santé en lui présentant des rapports fallacieux sur le secteur et la problématique de la commercialisation des médicaments.
Affaire à suivre…

dimanche 16 mars 2008

Première Dame KB : à chacune ses rabatteurs

Du temps de Maaouiya Ould Sid'Ahmed Taya, Mint Tolba avait ses propres courtiers en l’occurrence Deddahi Ould Ahmed Tolba (son propre frère) et Mohamed Ould Mohamed Ali dit le consul passe-partout.
Ces deux hommes géraient les affaires de Aïcha tant à l’intérieur qu’à l’extérieur d e la Mauritanie.
Ould Mohamed Ali par exemple, était à Casablanca pour acheter des appartements à Madame la Présidente. Une fois la mission terminée au Maroc, il fut affecté à Paris comme ambassadeur auprès de l’UNESCO, une sorte de couverture pour acheter des appartements et hôtels à Madame Maaouiya.
Aujourd’hui, la Mauritanie a une nouvelle Première dame en la personne Khatou Mint Boukhary qui vient de recruter ses propres rabatteurs : il s’agit de son fils avec comme couverture la fondation KB qui s’occupe en réalité de la collecte des rançons des sociétés privées (Banques, Sociétés d’Etat), Sid'El Moctar Ould Naji (ancien ministre, ancien Gouverneur de la Banque Centrale de Mauritanie, ancien ambassadeur et ex courtier parallèle de Mint Tolba), et du tristement célèbre Sidamine Ould Ahmed Challa alias "le beau frère m’a dit" (Ould Ahmed Challa est en effet un Ideidbi marié à la nièce de Sidioca).
Challa est actuellement ambassadeur à Bamako où il a été nommé sur demande du président ATT, quelque chose de jamais vu dans les pratiques diplomatiques. N’est-ce pas ! Mais ça c’est une autre affaire. Ely.com nte vem…
Selon des sources proches du palais de Koulouba, Challa serait un pourvoyeur de compagnies agréables pour ATT qui serait friand des basanées.

X Ould Y : quand le silence paye.

On n’a plus entendu parler de X Ould Y depuis mars 2007.
Dans son dernier message de fermeture, il disait qu’il allait donner une chance au nouveau président de la République (6 mois de silence). On a avancé beaucoup de noms mais en vain.
Aujourd’hui par contre, X Ould Y va prolonger son silence parce qu’il vient d’être nommé par le Premier ministre Zinzin à un poste très important.
Donc X Ould Y + Z (Zinzin) = Zéro. Alors, la boucle est bouclée !
Mais Lakhbaar Tebgue Vi Dar va révéler et bientôt l’identité réelle de X Ould Y, en temps opportun parce qu’il devient un homme public gérant l’argent du contribuable mauritanien (à suivre donc).

Conscience et résistance : où en est-on ?


On est à la recherche de Jemal Ould Yessa ! Montres-toi, si tu es toujours courageux et à la recherche des intérêts de la Mauritanie.
Les dernières informations te concernant, te signalent à la recherche d’un poste à l’UNESCO. Alors tu t’es casé et silence total ? Ou bien Sidioca t’a donné quelques liasses d’euros et tu t’es cassé ?
Donc tu as terni l’image de la Mauritanie plus d’une décennie durant et tu t’es barré, pauvre p…
Et tes compagnons ?
Aux dernières nouvelles, Abdellahi Ould Kebd est entrain d’être cuit par l’ambassadeur Ali Ould Hayba à Rome.
S’agissant de Daha Ould Teiss, lui qui a été le premier "à vendre" conscience et résistance à l’époque de Taya, il devient aujourd’hui l’une des milles éminences grises de Sidioca.
Espérons au moins que Jemal n’est pas dans le scandale de la mutuelle d’assurance qui vient d’éclabousser des mauritaniens en France.
D’autre part, on voudrait bien avoir des nouvelles de tes alliances intimes ! Walla Mint Emir Trarza segratak bihe le martiniquais. lol

vendredi 14 mars 2008

Deuxième tronçon Rosso-Boghé : Zinzin d’un scandale à l’autre.



Le marché du deuxième tronçon de la route Rosso-Boghé a été gagné par une société franco-sénégalaise en partenariat avec un groupe privé mauritanien en l’occurrence Isselmou Ould Tajedine, du moins sur le plan de l’offre technique.
Un autre soumissionnaire monsieur Sini Ould Khyar, beau-frère de Zinzin, a fait bloc contre ce groupe. C’est ainsi alors que le Premier ministre Zinzin entra en scène en ordonnant une expertise bidon pour attribuer le marché à une société chinoise. Décidément Zinzin ne chôme pas après Winfield-Ould Waghef, affaire juteuse dans laquelle il n’a pas eu une ouguiya de commission. Zinzin sent-il sa fin à la Primature pour accélérer sa recherche perpétuelle d’enrichissement ? Ne le perdons pas de vue, il est très zinzin…

Amal Mint Sidioca prochaine présidente de la République ?

On parle beaucoup aujourd’hui de la parité entre les genres – émancipation de la femme oblige !
On pourrait bien voir par les temps qui courent Amal Mint Sidioca présidente de la République Islamique de Mauritanie.
Benassir Bhutto a été Premier ministre de la République Islamique du Pakistan, pays beaucoup plus conservateur que la Mauritanie.
Si Sidioca la prépare bien, c’est la mode parce que beaucoup de chefs d’Etat ont préparé leurs progénitures à ce poste, sorte de royaume-république inauguré par feu Hafedh El Assad, suivi bientôt par Abdoulaye Wade qui prépare Karim, Hosni Moubarak qui prépare son fils Gamal et Omar Bongo qui prépare sa fille aînée Pascaline. Donc on ne peut pas en vouloir à papi Sidioca qui veut être branché lui aussi. C’est un point positif au moins.
En tout cas Amal Mint Sidioca est actuellement abonnée à la table des chefs d’Etat.
Le président Tunisien Zeine Abidine Ben Ali lui aurait fait d’ailleurs un compliment qui n’est pas passé inaperçu quant Sidioca lui présentait sa fille : « Amal, votre fille est belle monsieur le Président ! ».
Mais il y’a un proverbe maure qu’il convient de citer ici : Sidioca est dans le cas de la servante (Khadim) qui constatant que le fagot qu’elle a ramassé est lourd, décida alors d’en ramasser encore plus "Hatbe el khadim, yaghlebha we etm etzidou" (Boubacar Ould Messoud n’ta vem !).

Khatou veut passer le flambeau à sa fille Amal.

Ely appelé à la rescousse du pays.


Plus de deux millions de signatures, toutes ethnies, tribus et souches sociales confondues, viennent de faire un appel pressant à Ely Ould Mohamed Vall pour tirer le pays de la crise profonde qu’il vit depuis l’arrivée de Sidioca et consorts en avril 2007.
Le peuple mauritanien ne peut plus apparemment attendre.
Les signataires demandent au président du CMJD dissout (mais encore vivant et immanent !) de les sortir du gouffre dans lequel il les a mis : Messoud et Zeine ont assez exploité le contribuable et ont fait beaucoup de torts aux citoyens mauritaniens, avec pour assaisonnement le mensonge à répétition.
Si maintenant Ely Ould Mohamed Vall est gêné ou fatigué, il n’a qu’à laisser la place à Maaouiya Ould Sid'Ahmed Taya qui est entrain de trouver sa force et son sens de commandement.
Mais Ould Taya serait déjà dégoûté par la façon dont il a été trahi par les hommes qu’il a fabriqués de toutes pièces.
Même Saleh Ould Hanena regrette aujourd’hui d’avoir organisé les putschs manqués contre Maaouiya.
Hanena dit actuellement haut et fort que sans lui, le 3 août 2005 n’aurait jamais lieu.
Ely Ould Mohamed Vall a non seulement aujourd’hui la possibilité mais le devoir de prendre les choses en main avant qu’il ne soit trop tard pour tous.
Sidioca doit être libéré pour se consacrer à la confrérie religieuse. Il a beaucoup de péchés à se faire pardonner quand il était ministre sous Moctar Ould Daddah et sous Maaouiya Ould Sid'Ahmed Taya qui l’avait mis en prison à Atar pour crimes contre la Nation.

lundi 10 mars 2008

Primature : "Y’a t-il encore une civilisation ?"

A l’arrivée du phénomène Zeine Ould Zeidane, beaucoup de gens ont nourri à tort l’espoir de voir un changement positif dans la gestion des affaires du pays.
Mais neuf mois après, les citoyens mauritaniens se rendent aujourd’hui compte qu’ils ont été dupés par le duo Sidioca et son fils spirituel Zeine Ould Zeidane.
La composition du gouvernement actuel et le pléthore de conseillers-arrivages à la Présidence de la République et à la Primature qui rivalisent dans l’incompétence et la médiocrité, rappelle les propos du Général De Gaule : « tout pays n’a que les dirigeants qu’il mérite ».
Loin de nous, l’idée d’insulter le peuple mauritanien qui croyait aux discours démagogiques de Zeine Ould Zeidane et de Sidioca, il faut rappeler quand même que les électeurs oublient souvent que les promesses des candidats n’engagent que ceux qui les écoutent.
Sidioca et son gros bébé Zeine n’ont amené que la misère et l’insécurité dans le pays. Citons en le problème de la drogue, le retour mal préparé et mal négocié des réfugiés, les émeutes sanglantes dans l’Est mauritanien, l’assassinat des touristes français dans les environs d’Aleg (fief de Sidioca), la tuerie des soldats mauritaniens à El Ghelawiya, le pillage à ciel ouvert de nos ressources minérales (MCM d’Akjoujt avec quarante conteneurs de concentré de cuivre par jour vers des destinations inconnues en passant par les douanes corrompues du port de Nouakchott, le TASIAST MAURITANIE qui exploite notre or et l’expédie par avion spécial atterrissant à la mine et qui décolle avec des chargements entiers d’or vers l’Europe).
D’ailleurs la chambre d’or de Tasiast Mauritanie Limited S.A est interdite d’accès au employés mauritaniens de la société et même à tout africain. Quelle insulte pour la Mauritanie dont le premier mot de la devise nationale est l’honneur !
Seule l’existence d’énormes réserves d’or peut justifier la présence des dizaines d’européens au camp d’El Ghaicha dans le Tasiast en plein paysage lunaire et loin de tout signe de civilisation. Mais Tasiast Mauritanie Limited SA oublie-t-elle que rien ne s’oublie en Mauritanie ?
Ni Sidioca ni son fils Zeine ne semble préoccupé par ce pillage de nos ressources naturelles qui atteint son paroxysme par la vente de la SNIM à l’Indo-britanique. Que nous restera-t-il donc après la SNIM alors que nous venons d’enterrer notre compagnie aérienne Air Mauritanie, symbole de notre souveraineté nationale.
La surfacturation, les détournements quotidiens des deniers publics par le truchement de l’attribution de marchés par trafic d’influences et délits d’initiés, sont les seules pratiques des nouveaux gouvernants et leurs entourages issus de l’ex CMJD.
Les ministres actuels sont si gourmands et arrogants qu’ils étalent leurs fortunes si rapidement mal acquises en achetant des villas à Nouakchott (l’exemple du ministre de l’Energie Monsieur Oumar Ould Yalli qui vient d’acheter une villa à Tevragh-Zeina à (40.000.000 UM) quarante millions d’ouguiya est plus que scandaleux même si le ministre malhonnête a utilisé un prête nom dans le cadre de la transaction (acte de vente chez l’imam Hamed).
Et l’avant dernière couleuvre qu’on vient de nous faire avaler est la création d’un parti politique (PNDD) dont le conseil national est composé de malfrats de l’ancien et du nouveau régime, comme si sa composante PRDS ne suffisait pas pour continuer la torture politique.
Voila pour le moment le bilan tangible de Sidioca et fils.
Il faut ajouter à ce chapelet de crimes économiques, le degré de favoritisme jamais enregistré en Mauritanie, qui règne actuellement. Voici des exemples :
Coté Sidioca : son fils et sa fille sont conseillers à la Présidence ; son frère Mourtada est "attaché" tous azimuts au palais Présidentiel.
- Son épouse ouvre et clôture des conférences, des séminaires comme un chef d’Etat, en plus de ses activités louches de fameuse présidente de fondation qui rackette à tout vent.
- La nomination du Gouverneur adjoint de la Banque Centrale monsieur Cheikh Sid’El Moctar Ould Cheikh Abdellahi, la nomination de son propre frère Cheikh Baye au poste de secrétaire général de Mauritel SA, la nomination du directeur de la SNDE Ould Houeibib, le maintien contre vents et marées de l’ambassadeur Sidamine Ould Ahmed (Challa) à Bamako (son beau frère) et la liste est loin d’être terminé. Bientôt la République ne comptera que les membres de la secte et de la famille.
Coté Zeine : il faut d’emblée préciser ici que Zeine n’a aucune assise tribale ni stratégie de gestion valable. Il est plutôt un simple phénomène qu’on n’arrive pas à expliquer. Il meubla cependant la primature de conseillers médiocres sur la base de copinages (la majorité lui servaient de mouchards quand il était gouverneur à la Banque Centrale, version Mint Tolba.
- Il nomma la fille de son oncle ambassadeur à Genève et imposa le présent de la commission centrale des marchés qui était son béni-oui oui à la Banque Centrale.
Pour mieux se servir des denrées de première nécessité (précisons ici que Zeine a connu la misère et le traumatisme quand il fut expulsé du Sénégal en 1989), il nomma son oncle maternel Abderrahmane Ould Jiddou comme commissaire à la sécurité alimentaire et à la protection sociale et un autre acolyte El Arbi Ould Moulaye à la tête de la SONIMEX.
Le même Zeine ne chome pas parce qu’il passe tout son temps à intervenir pour l’attribution des marchés à ses proches et dérivés.
Le favoritisme est loin d’épargner les ministres membres du gouvernement : le cas de la ministre de l’Education Nationale, l’abonné des caméras de TVM, démagogue rompue aux phrases bien tissées de mensonges et de prétentions, et flagrant. Elle est surnommée aujourd’hui madame BAC probatoire, sans base juridique.
Chaque fois qu’elle opère un changement au sein de son département, deux sur trois nominations propulsent les siens. Le comble de l’ironie est que madame la ministre à plusieurs conseillers avec chacun un budget d’un million d’ouguiya sauf sa copine Toutou Mint Cheikhna qui gère 3.000.000 UM (Trois millions d’ouguiya). Est-elle plus méritante que les autres conseillers, elle qui est professeur adjoint de sciences naturelles, en rupture de banc ?
Comment madame la ministre peut-elle justifier cette différence de traitement ?

dimanche 9 mars 2008

Coup d’Etat du 03 août 2005 : effectivement lakhbaar tebgue vi dar


Des sources concordantes et anonymes révèlent que c’est la France qui est l’artisan principal du changement du 03 août 2005.
En effet, Paris ne pardonnait pas à Moawiya Ould Sid'Ahmed Taya sa lune de miel avec Washington au détriment des intérêts français.
Alors, la chute de Taya devait aussi servir d’avertissement pour les chefs d’Etat de la région qui pourraient être tentés de s’éloigner de l’hexagone. L’on se rappelle c’était Sghair Ould Mbareck, à l’époque Premier ministre, qui devait partir pour les condoléances en Arabie Saoudite.
Jaques Chirac et le roi du Maroc auraient convaincu Moawiya de se rendre à Riyad pour laisser le champ libre à Ely Ould Mohamed Vall et consorts.
C’est le même coup, on s’en souvient, joué par la France à Ould Haidalla en 1984, pour le convaincre d’aller à Boujoumboura.
Il faut reconnaître à la France que dans les deux coups d’Etat, elle a évité à la Mauritanie la prise du pouvoir par le sang !
On apprend d’autre part, de sources proches des capitales européennes, que l’occident ne voit pas d’un bon œil les faiblesses de Sidioca et son appartenance à une confrérie religieuse. Ce qui rend impossible l’impartialité du chef de l’Etat dans les prises de décisions.
Et aujourd’hui, le débat ne semble pas donc être clos en Mauritanie parce que le régime de Sidioca est plus que déchanté par l’occident (assassinat des touristes français, attaques de l’ambassade d’Israël à Nouakchott, suppression du Paris Dakar, etc.).
Les services des renseignements français tenteraient en effet de conduire Sidi Ould Cheikh Abdellahi vers l’explosion des problèmes ethniques (retour des réfugiés, passif humanitaire, Sahara occidental, etc.) qui exhument partout les guerres civiles.
Des recherches sociologiques sur l’homme type maure réalisées par les services de synthèse des chancelleries occidentales à Nouakchott, démontrent qu’à partir de l’age de 70 ans, ce dernier se réfugie dans la région (moquée et chapelet) où ils puisent toute solution, même aux problèmes posés par le troisième millénaire.
La France quant à elle, est habituée au profil de président mauritanien plus moderniste et le prochain coup d’Etat sera forcement contre la République Islamique. Wait and see !

mercredi 5 mars 2008

Partage du pouvoir en Mauritanie : jusqu’où ira le tiraillement ?


A la veille du deuxième tour des élections présidentielles, on a beaucoup parlé des accords séparés signés entre Sidioca, Messoud Ould Boulkhair, Zeine Ould Zeindane et Ba Mbaré, pour leurs ralliements.
Chacun a eu sa part du gâteau : le perchoir et quatre portefeuilles ministériels pour Messoud le Mandela de Mauritanie, la primature pour Zeine Ould Zeidane (Zinzin) et la présidence du sénat pour monsieur Ba Mbaré, le sorcier de Maghama.
Dans les engagements pris, jusqu’ici respectés, Sidioca a apparemment ignoré un point crucial : les promesses de campagne n’ont jamais engagé que ceux qui les écoutent ; donc Sidioca (pas si idiot que ça) n’avait pas besoin de tenir réellement parole et encore moins de partager le pouvoir à un moment de réelle transition, où le pays a plus que besoin d’un homme à poigne.
Si Sidioca consacre un moment de lecture à la constitution, il découvrira que ses compétences sont garanties par la loi fondamentale. C’est avec un pouvoir discrétionnaire qu’il nomme aux fonctions civiles ou militaires, qui il veut.
Il n’a pas besoin de marchander avec quiconque les nominations aux hautes fonctions de l’Etat. Ce sont là, les attributions constitutionnelles de tout Président de la République.
D’ailleurs, a-t-on besoin de tant d’efforts pour plaire à monsieur Messoud et au nom de quoi ?
Au fait, Sidioca le gentil a tenu parole ! Ok. Mais, neuf mois de gouvernement médiocre, c’en est trop !
Pourquoi ne s’inspire-t-il pas du vieux sage Abdoulaye Wade ? Pourtant, plus démocrate que lui tu meurs !
Au début de son premier mandat, il a donné des miettes à des alliés de campagne électorale. Mais une fois assis, Abdoulaye Wade s’est accaparé tout le pouvoir et rien de plus normal que de se conformer à la constitution.
Et si Messoud le vieillard est courtisé pour une question de représentativité, rappelons qu’il n’est pas le seul hartani intellectuel compétent.
Il y’en a d’autres plus honnêtes et plus patriotes. Ils se comptent par dizaines et on les marginalise parce que, c’est l’heure de la médiocrité.
Zeine, quant à lui, a vendu du vent à Sidioca. Les 15% ont été certes enregistrés au premier tour à son profit, mais c’était un vote sanction contre Sidioca et Ahmed Ould Daddah. Ce dernier a eu le courage de ne pas négocier avec Zeine et Messoud quand ils lui ont proposé leurs marchandises de pacotille.
Si Sidioca veut réussir ce mandat, qui s’annonce très long et parsemé d’obstacles, il doit obligatoirement (et le plus tôt serait le mieux) se débarrasser de Zinzin et de Messoud qui portent un très grand préjudice au pays. Plus les choses passent, plus cela se confirme d’ailleurs. Inutile donc de nous bander les yeux ! Citons ici Montesquieu que Sidioca aurait du lire dans l’esprit des lois : « le pouvoir est un et indivisible. Il ne se partage pas ».

mardi 4 mars 2008

Le danseur de AIN VARBA, la HAPA et la presse indépendante ou l’amour impossible.


Depuis sa nomination à la tête du ministère de la Culture et de la Communication, monsieur Mohamed Vall a perdu son équilibre mental. Donc laissons ici la culture et n’en parlons pas dans ce qui suit, ok !
L’homme a été victime d’un complot qui vient de le conduire à la liquidation de la presse indépendante.
En effet, Mohamed Vall, le danseur de Ain Varba commit le plus grand crime de sa vie en s’entourant du quarteron de mercenaires de la plume des plus intellectuellement malhonnêtes à savoir Hindou Mint Aïnina, la tristement célèbre singeasse du journal le CALAME, Mbareck Ould Beyrouck (le directeur du journal MAURITANIE-DEMAIN qui n’a pas résisté à la Mauritanie d’aujourd’hui), Idoumou Ould Mohamed Lemine (le directeur du journal EL MOUSTAGHBEL, devenu malgré lui, l’un des centaines de conseillers arrivages de Sidioca et ancien serveur de la gargote du port du président Khattry Ould Dié) et surtout le fameux Mohamed El Moctar dit le cafard (directeur du journal LE DEFI qui n’en a relevé aucun).
Cette bande des quatre a décidé lors d’une réunion sous la silhouette effacée du ministre de la Communication Mohamed Vall, de tuer toutes les publications indépendantes qui ne les plaisent pas.
Ils ont annoncé des critères pour le choix de trente cinq (35) publications devant bénéficier désormais des rarissimes largesses du couple Sidioca/KB.
De première vue, ces critères sont corrects.
Mais la façon de les réunir a été un art extraordinaire du faux et de l’usage du faux : on prête pour la circonstance une pièce d’une villa à Nouakchott et on y installe des équipements informatiques loués pour l’occasion. On y installe aussi des faux journalistes entrain de traiter des faux textes et le tour est joué. Vous êtes éligibles par la HAPA !
Il faut dire que l’acrobatie est si parfaite que les bénéficiaires ont su s’inscrire à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) en y assurant des faux employés.
Parmi les trente cinq (35) heureux du danseur de Ain Varba, certains ont même eu recours à leurs chambres d’habitation pour y installer des carcasses d’ordinateurs.
D’ailleurs, sur quelle base juridique, le ministre de la Communication, s’est-il basé pour salir la presse indépendante ?
On parle de la HAPA (Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel).
Au fait, cette HAPA est une création du CMJD, lequel CMJD a disparu. La CENI elle aussi, s’est dissoute. Pourquoi alors la HAPA n’a pas disparu avec ses commanditaires ?
Beaucoup de bruits, confirmés par ailleurs ont couru que le président de la HAPA, monsieur Bal Tijane a utilisé la nouvelle planque pour y installer le maximum de ses cousins et cousines.
Mais aujourd’hui, avec la création de l’agence pour le retour des réfugiés, et la nomination de Moussa Fall (le caméléon) comme directeur, monsieur Bal doit retourner dans la région des grands lacs qui a beaucoup plus besoin de lui.
La HAPA est un enfant mal formé de Limam Cheikh, qui est lui même un "enfant" abandonné de l’UNICEF.
Limam Cheikh a fait travaillé sous le gouvernement transitoire, un ramassis de vieux retraités et de retardés mentaux pour élaborer les textes hapaiens, lesquels textes ne sont jamais passés devant le Parlement.
Une question pour le ministre de la Communication, meurtrier de la presse indépendante : selon les exigences de la HAPA, pour être directeur de publication indépendante, il faut avoir un Bac + 5. Sur les trente cinq heureux directeurs de journaux sélectionnés, combien répondent-ils à ce critère ?
Etes vous-même, monsieur le ministre bac + 5 ?
A part votre séjour malheureux à la ridicule commission nationale chargée de l’UNESCO, votre CV est bien en dessous du service feu Denebje.
Alors comment osez-vous étouffer des talents des générations montantes qui aspirent à bien tenir le peuple mauritanien informé ?
Depuis quand êtes-vous devenu aussi si téméraire ?
Vos élèves de collège se rappellent encore vos pleures en pleine salle de classe quand vous n’arrivez pas à expliquer une leçon !
Il faut aussi que les pauvres contribuables mauritaniens sachent que monsieur Bal Tijane le président de la HAPA bénéficie d’un traitement mensuel de plus de quatre millions d’ouguiya pour un service mal rendu. Est-ce normal ?
Savez-vous également monsieur Bal que Lakhbaar Tebgue Vi Dar ?
Parmi votre liste de 35 journaux, figurent tous les journaux appartenant à des négro-mauritaniens. Ça, ce n’est pas un crime en lui-même, et c’est normal d’ailleurs. Mais ce qui ne l’est pas, c’est quand vous excluez les journaux des nassériens et ceux de la tendance de l’opposition politique.

Rappelons seulement à l’homme de Ain Varba qui a validé votre liste sélective pour ne pas dire ségrégationniste que Tilke el eyaamou Noudawilouha beyne ennass (les jours se suivent et ne se ressemblent pas !). Il y’aura 35 journaux sous d’autres cieux politiques. En ce temps là, où serez-vous monsieur le ministre ?

A suivre

lundi 3 mars 2008

Baptême du petit fils de Messoud : le Président de l’Assemblée Nationale donne une leçon de gabegie dans sa forme la plus insolente.


Les habitants du quartier E Nord de Tevragh-Zeina ont été réveillés ce 1er mars 2008 par un chœur de blatèrements de troupeaux de chameaux et la circulation urbaine a été bloquée de partout.
Qu’est-ce qui se passe, demandent les clients du petit boutiquier du coin, l’homme le plus renseigné sur tout ce qui se passe dans son quartier.
"Vous êtes dépassés, dit-il. C’est la fille de Messoud Ould Boulkhair qui a accouché. Aujourd’hui, c’est le baptême de son fils et les dizaines de chameaux que vous voyez sont des cadeaux amenés par les fils de grandes familles, d’émirs, de chefs de tribus, des banquiers et d’hommes d’affaires".
Pourtant ce beau monde, qui vient s’incliner devant la naissance du petit fils de Messoud, refusait il y’a moins de quatre ans de serrer la main au grand-père Messoud, le traitant de vieil esclave retardé mental !
Voilà comment les choses changent en Mauritanie, les gens aussi !
Messoud le prolétaire, le combattant de la liberté et de la justice sociale n’existe plus. C’est aujourd’hui un homme qui vit dans l’opulence. Ses boubous bazins première qualité se comptent par dizaines.
Des troupeaux de chameaux sont sacrifiés en entiers pour marquer la naissance de son petit fils. Quelle exubérance !
Les ministres tendances APP du Gouvernement Zinzin étaient de la fête. Oumar Ould Yali a exercé une danse Lebleida. L’accoutrement de Corréra Issagha, le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, n’est pas passé inaperçu le jour de la fête du baptême du petit fils du Président de l’APP. Il paraît que son boubou rivalisait avec celui d’Amadou Toumani Touré.
Finies les fréquentations des camarades de la cause harnos.
Décidemment, on aura tout vu en Mauritanie ! Messoud dit le Mandela mauritanien est devenu aujourd’hui le symbole de la corruption ! Adieu donc la lutte contre l’oppression…
Abraham Lincoln n’a-t-il pas dit que « Le pouvoir corrompt et le pouvoir absolu corrompe absolument ». Eh oui, le perchoir a son goût et ses habitudes.
Dans ces changements brusques, seuls les griots ne perdent pas la boussole en chantant les louanges du petit fils de Messoud !

dimanche 2 mars 2008

Le Gouvernement de Zinzin ou la quintessence de la médiocrité


Rien que les braillements quasi hystériques du ministre de l’Energie Monsieur Oumar Ould Yali devant les Parlementaires endormis, démontrent le niveau très bas de l’équipe gouvernementale actuelle.
Ce Gouvernement ne peut réussir son essai à cause de sa composition hétéroclite (la part de Messoud Ould Boulkhair, celle de Sidioca et le tiers de Zeine ou Zinzin).
Il est à préciser que ce Gouvernement d’une nullité jamais enregistrée dans l’histoire de la République, est composé d’adolescents et de personnes de troisième âge, ce qui ne facilite pas également la tâche du chef d’orchestre (Zinzin), que rien n’est prédestinait au poste de Premier ministre.
Commençons ici par Zinzin lui-même (à tout seigneur tout honneur !).
Zeine Ould Zeidane ferait mieux de rester à la Banque Centrale où il était au moins dans son diapason (stratégie monétaire, analyses économiques bidons, commissions sur saisie de devises à l’aéroport de Nouakchott, commissions sur autorisations de change, etc.
Depuis qu’il est à ce poste de Premier ministre, l’homme s’est surtout fait remarqué par l’attribution de marchés gré à gré et la nomination de nouveaux amis qui l’ont aidé à obtenir 15% au premier tour des élections présidentielles dernières truquées à l’avance par l’ex CMJD.
Il n’y a aujourd’hui pratiquement pas d’usagers à la primature depuis l’arrivée du nouveau Directeur de cabinet, Monsieur Nani Ould Chrougha, qui, dit-on, fait peur aux visiteurs.
Zinzin a renvoyé tous les conseillers et chargés de missions comme si l’Etat n’était pas une continuité, qui appartient à tous les citoyens. Même le brillantissime Ahmed Salem Ould Bouboutt n’a pas échappé à cette injustice !
Il remplit la primature de conseillers et chargés de missions sans expérience et incompétents. Chaque jour qui passe, Zinzin déçoit plus ceux-là même qui ont voté pour lui au premier tour surtout à cause de l’incohérence entre son discours et sa pratique : quand il promet quelque chose, c’est le contraire qu’il fait.
Les exemples sont nombreux (les prix des produits de premières nécessités flambent, l’assainissement des finances publiques n’a jamais été fait, pire le rendement de l’administration fiscale se détériore, la lutte contre la corruption gagne du terrain et le dossier de la drogue n’a jamais progressé, au contraire les barons ne sont pas inquiétés).
Le plan pour la sécurité promis sur les antennes de RFI ne verra jamais le jour, au contraire il y’a eu une recrudescence de la criminalité (assassinat du boutiquier maître de Coran, etc.) et les attentats terroristes.

Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération : Mohamed Saleck Ould Mohamed Lemine dit Tintin


Tintin aurait mieux fait de rester à Genève comme représentant permanent de la Mauritanie auprès des organisations internationales des Nations Unies, où il racontait des bobards sur les droits de l’homme en Mauritanie. C’était mieux pour la Mauritanie et pour lui-même, parce que l’histoire désavoue aujourd’hui ce menteur sur les droits de l’homme en Mauritanie. Qui dit mieux. Merzoug, ente vem !
Depuis sa nomination au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération, il est toujours entre deux avions.
Il a nommé un pléthore de gens aux postes diplomatiques et à l’administration centrale du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération : les outsiders sont nombreux et on peut en citer le frimeur Baba Ould Sidi Abdella (speaker de radio Mauritanie avec pour fonction animateur de l’émission wejhen li wejh qui lui a permis de rançonner tous les membres du Gouvernement de la transition) à la direction de la communication et de Daha Ould Teiss ancien compagnon de Koïta Bamarième à l’ex CDHLCPI et de Zeini le sympa.

Ministre de l'Hydraulique, de l'Energie et des TIC : silence j’achète maisons après maisons.


Pourquoi Messoud Ould Boulkhair choisit-il un homme aussi minable, incompétent et malhonnête pour diriger le ministère le plus important parce que combinant quatre secteurs vitaux à savoir l’Hydraulique, l’Energie, les Technologies de l’Information et de la Communication.
Ould Yali apprit sa nomination comme ministre alors qu’il jouait au damier à la bourse de Tieb tieb en face du marché central de Nouakchott. Il avait un tacot rouillé et cabossé à vendre. Il habitait les logements collectifs à coté des fanfares. Quelle métamorphose !
Neuf mois après, il est aujourd’hui à sa quatrième villa à Tevragh-Zeina, dans les quartiers chics de Nouakchott et avec dans leurs garages des 4 x 4 derniers cris. La première maison de Ould Yali a été achetée à 60 millions d’ouguiyas : pour ceux qui veulent satisfaire leur curiosité, cette villa est voisine du domicile de maître Yarba Ould Mohamed Saleh avocat à la Cour, près du centre commercial des femmes. Bien sûr, pour ne pas laisser de trace, le ministre Ould Yali a enregistré l’acte de vente sous un prête-nom.
Vers la mi-février 2008, il en acheta une deuxième à 45 millions d’ouguiyas, espèces et rubis sur ongle, selon le même procédé chez l’imam Hamed.
Il faut dire ici que tous les ministres de l’APP rivalisent dans les détournements de deniers publics pour un enrichissement à une vitesse de lumière (nous reviendrons sur chacun d’eux : Corréra Issagha, Mohamed Ould Ahmed Ould Yerg, Mohamed El Hafedh Ould Ismael).
Mais comment peuvent-ils aujourd’hui parler à leurs militants qu’ils ont habitués aux langages de la critique du Gouvernement de Taya ?
Certes à l’époque de Ould Taya, on volait mais pas à une telle vitesse et avec avidité. A son époque, il y avait au moins une distribution horizontale des prébendes de l’Etat.
Aujourd’hui, seule une petite poignée sidio-zeino-messoudienne se partage les biens de la Nation sans se soucier des citoyens qui crèvent de faim. Et à l’horizon, on ne voit rien venir ! Pour mieux voler, ils se couvrent derrière des prétextes surannés et fallacieux comme l’esclavage, le retour des réfugiés, le passif humanitaire, etc. Ils s’enrichissent vite parce qu’ils connaissent que "la mère du voleur ne continue pas toujours ses youyous !"

Ministre du Transport Ahmed Ould Mohameden : l’invasion de Ehel Elb Adriss.


Le Gouvernement de Zinzin fait deux pas en arrière et un petit pas en avant dans l’assainissement de l’administration. Tous les ministères commencent à se tribaliser.
Le dernier exemple est le mouvement interne opéré par Ould Mohameden dans le département du Transport.
Si Ould Hama Vezaz, n’a pas réussi à imposer ses hommes au niveau du ministère de l’Economie et des Finances, le ministre du Transport, quant à lui a "elbadrissisé" tout le département, du directeur des transports, en passant par les chefs de services jusqu’aux chefs de divisions sans oublier les plantons et chauffeurs. Tous sont originaires de Elb Adriss, localité du ministre moughadem.
A préciser ici que Ould Mohameden a été chassé du port de Nouakchott par le très distingué voleur de la République, monsieur Mohamed Mahmoud Ould Deih.
Ould Mohameden atterrit à l’Etablissement National pour l’Entretien Routier (ENER) comme directeur général adjoint sous le commandement d’un autre voleur en la personne de Sidi Mohamed Ould Mohamed Salem (plus voleur que lui, tu meurs !). On appelait l’actuel directeur général de l’ENER, monsieur 30% allusion à sa commission dans tout marché d’entretien des immeubles de l’Etat quand ce dernier était directeur du bâtiment.
Finalement on est aujourd’hui en pleine république de moghadems (Sidioca, Ould Mohameden, etc.). Il ne sera pas surprenant de voir un jour Messoud Ould Boulkhair rejoindre la confrérie Tijania, tendance Lemden.

Ministre de la Santé : voici l’exception qui confirme la règle.


Le Gouvernement de Zinzin dérouté ne mérite même pas d’avoir dans ses rangs un intellectuel comme Mohamed Lemine Ould Raghani.
Depuis qu’il est à la tête du ministère de la Santé, l’homme n’épargne aucun effort pour assainir ce secteur vital pour tous, malgré le travail de sape des mafias des faux médicaments et des pharmacies-boutiques. Il enregistre déjà une nette amélioration de la couverture sanitaire.
Entouré de faux vrais et de vrais faux conseillers docteurs, le ministre fait des percées réelles pour assainir le ministère de la Santé qu’il a trouvé dans un état chaotique. Mais un seul homme, quelques soient ses qualités et sa volonté de bien faire, ne peut gérer un département aussi malade, pourtant chargé de la santé. Où est le salut quand le médecin lui-même est malade ?
Le portefeuille qui est taillé sur mesure pour le docteur Raghani est, soit gouverneur de la Banque Centrale, soit ministre de l’Economie et des Finances, ou même Premier ministre.
Dans une tenue toujours impeccable respectant soigneusement l’unisson des couleurs et des motifs, Mohamed Lemine reçoit les usagers à longueur de journées avec sourire et un langage agréable. Les visiteurs partent toujours impressionnés par la grande culture de l’homme et sa courtoisie et remarquent pertinemment que l’homme n’a rien de commun avec ses autres collègues du gouvernement.

(A suivre les appréciations sur les autres membres du gouvernement)

Insolites :

Ambassade de Mauritanie à Madrid : Sidi Mohamed Ould Boubacar trempé jusqu’aux genoux de Oum El Kirane.

Mieux vaut tard que jamais, Sidi Mohamed Ould Boubacar, qu’on croyait respectueux de la chose publique a finalement pris le biberon à Madrid où il négocia le marché des travaux de rénovation de la résidence de l’ambassadeur de Mauritanie dans la capitale espagnole avec une société de la place.
C’est cette affaire qui vient de faire sauter en fusible au ministère de l’Equipement (le directeur du bâtiment) mais c’était apparemment une "masse électrique" parce que ce dernier qui s’était rendu à Madrid a trouvé que l’affaire était déjà conclue entre Sidi Mohamed Ould Boubacar et la partie espagnole.
Fou furieux, le directeur du bâtiment revient bredouille avec copie du contrat pour les modalités de règlement financier.
(A suivre).


Agence pour le retour des réfugiés : Etfou Moïssa Fall, encore lui !

Décidemment Sidioca n’en fini pas de décevoir l’opinion publique par le clientélisme dans les honteuses nominations qu’il fait aux hautes fonctions de l’Etat. La dernière en date est celle du "monument historique" Moussa Fall comme directeur de l’Agence pour le retour des réfugiés.
Cette dernière va dit-on, gérer 43 milliards d’ouguiyas. C’est ici ce qu’on appelle "confier le poumon au chat". Moïssa Fall, comment peut-on lui confier la gestion de tous ces fonds ?
On dit là-haut que les réfugiés mauritaniens au Sénégal et au Mali sont les cousins de Moïssa Fall et que de ce fait, il vaut mieux confier leur retour et leur insertion à leur "fils" ; ainsi, s’il y’a un pépin, le linge sale sera lavé en famille.
C’est le seul argument qui peut justifier cette promotion de Moïssa Fall qui a volé la SOCOGIM, la Banque de l’Habitat, entre autres.
C’est ce qui donnera peut être aussi une idée de l’enjeu que constitue pour cet homme, la récupération politique de cette mission du retour humanitaire !
Après avoir "vendu" Ahmed Ould Daddah et trahi Ould Taya, Moïssa Fall est aujourd’hui entrain de rouler Sidioca dans la farine de Khatou Mint El Boukhary et les excréments des vaches de Lemden.
Moïssa Fall ne manquera pas d’utiliser le système biométrique pour un retour de faux réfugiés.
Les vrais réfugiés eux-mêmes regrettent d’avoir accepté un retour qu’ils ne connaîtront malheureusement pas aujourd’hui avec Moïssa Fall, qui a l’habitude de trahir tous ceux qui lui font confiance. Ne le perdons pas de vue, c’est un prédateur sophistiqué et dangereux qui n’a aucun intérêt pour l’unité nationale. Il dit même en coulisses, à ses compagnons politiques malhonnêtes, que cette histoire de réfugiés et du règlement de passif humanitaire en Mauritanie, est ce qu’on appelle le mythe de Sisyphe.

(A suivre la composition scandaleuse du staff de l’agence avec double tête comme directeur de la communication et Ould Horma dans tout ça !)