jeudi 29 décembre 2011

L' homme de l' année : Ahmed Ould Khattri .


Quatorze mariages successifs en cachette avec des amazones marocaines , dans la prison de Dar Naim , dont cinq en présence de ses compagnons de cellule , messieurs Mohamed Lemine Ould Eddade et Cheikh Ould Maouloud ex percepteur des douanes PANPA , petit déjeuner quotidien au Mechwi de cabris , thé Edhehbi le soir , aromatisé à l’Azawane rythmé , cellule de prison climatisée avec télévision équipée de cartes de décodages de toutes les chaines du monde et au-delà , comptes garnis dans toutes les banques nationales et internationales avec MasterCard , visa international à la disposition de l’ épouse du moment , villas somptueuses à Nouakchott , à Nouadhibou et aux iles canaris , troupeaux de camélidés et de caprins dans l’ Iguidi et l’ Aoukar , voilà quelques étalons des réalisations de monsieur Ahmed Ould Khattri durant l’ année 2011 qu’ il aura vécue à l’ intérieur d’ une villa , à l’ intérieur de la maison d’ arrêt de Dar Naim .
On rappelle qu’au début de l’année 2010, Ahmed Ould Khattri est entré en prison inculpé suite à un vaste détournement des deniers publics, et qu’il en est sorti à la fin de l' année 2011 , lavé de tout soupçon.
"Blanc comme neige" , Ould Khattri est aujourd’hui libre et commence une nouvelle carrière politique en inaugurant une série de meetings à Nouadhibou , à Nouakchott et à l’ intérieur du pays pour donner à l’ assistance des leçons en matière de bonne gouvernance ! Le ridicule ne tue plus . Parlera-t-il des CAPEC ? Rien n’est moins sur …
Ahmed Ould Khattri est l’homme de l’année selon des prismes bien mauritaniens, parce que , c’ est un "brave" qui a nargué la justice en prémunissant son pécule , après une année laborieuse mais bien arrosée , dans les geôles de l’Etat. Suivez bien l’exemple de Ould Khattri Ould CAPEC , si vous voulez être élu "homme de l’ année 2012" …Que le meilleur gagne!

mardi 27 décembre 2011

UJEM : quand un attaché entache la présidence .


Monsieur Abdallahi Ould Hormtalla , ancien journaliste pigiste chez le CALAME , aujourd’hui attaché (mais pas très bien ! ) à la présidence de la république , fait depuis ces derniers jours , le porte à porte chez les hommes d’ affaires pour demander le sponsor de la rencontre de l’ union de la jeunesse euro maghrébine ( UJEM ) qui se tient à Nouakchott , au palais des congrès , au frais de l’union elle même et de l’ État mauritanien , parce que sous le haut patronage du président de la république .
Malgré son age ,il prétend être le représentant de l' UJEM en Mauritanie et aurait à ce titre rassemblé déjà des sommes colossales sur le dos de cette organisation qui le désavoue . Mais ce peshmerga , retrouve ses réflexes du temps où il était mandaté par Moussa Ould Hamed , pour collecter les enveloppes correspondant aux portraits et interviews commandés chez Ahmed Ould Cheikh, du temps de la belle époque du journal de feu Habib ! Puis Ould Hormtalla "s'exila" en France pour vivre à coté de son copain Jemal Ould Yassa dans les misères et cauchemars des immigrés maghrébins sans papiers , dans les banlieues parisiennes dépravées .
Selon des sources proches de El Gharachi , certains hommes d’affaires auraient renvoyé Ould Hormtalla au diable en lui répondant qu’ ils sont fatigués de courtiser la présidence qui ne lâche pas du lest face à leurs revendications réitérées de dégrèvements .
Les balivernes de l’attaché à la présidence intello soit disant , assoiffé de paroles et d’argent , n’ont donc pas convaincu dans certains milieux rebelles des jeunes du patronat mauritanien.
Décidément, le copain de Jemal ne recule devant rien pour se faire de l’argent : après avoir arnaqué Bomba Ould Dermane le ministre chauffeur , pour avoir le marché des exposions de la foire nationale avec l’aide de Mohcene Ould El Hadj , le voilà aujourd’hui qui fait chanter les entrepreneurs mauritaniens en leur promettant monts et merveilles et la grâce du soleil . Mais, "la haut", est –on au courant de cette arnaque ?
Au-delà des diplômes supérieurs que Ould Harmtalla ne possède pas, un attaché à la présidence doit avoir une culture élargie et une bonne probité intellectuelle. A défaut, l’attaché restera toujours très attaché à l’argent ! Et cela entache le palais présidentiel ...

mercredi 21 décembre 2011

Hopital de la mère et de l' enfant : un salon de coiffures .



C’est dommage que ce beau fleuron de la politique sectorielle du président de la république et un gage de son patriotisme, soit aujourd’hui transformé en salons de coiffures pour femmes Halaybées,avec comme chef de file la directrice elle-même , madame Ba Aissata gynécologue de son état qui confond le centre pour la santé de la mère et de l’ enfant , avec une fabrique de beignets à Boghé .
A l’intérieur de l’édifice, les femmes font et défont leurs tresses à longueurs de journées , dans une clameur digne d’une ambiance au marché Sebkha , aux heures d’arrivage du poisson frais, Yayeboy . Les infirmières ne reçoivent que les parentes de madame la directrice , au lieu d’accueillir les pauvres femmes qui affluent de Hay Essakene et Mzailgué , pour accoucher ou se faire prendre en charge dans leur hôpital .
Pour docteur Assata Ba , la santé de la mère qui donne la vie à l’ enfant n’ importe apparemment que si elle est Halaybée , les autres peuvent mourir pendant que les coiffeuses infirmières , soit disant , font leurs tresses sur les lits d’ hôpital .
L’atmosphère au centre hospitalier de la mère et de l’enfant, c’est un peu comme à la direction commerciale de la SNDE où tout le monde est parent du directeur général , monsieur Yal Zekeria , du directeur commercial monsieur Tendia au chef de département de Nouakchott monsieur Sarr , passant par la secrétaire Bébé au portier Amadou , sans oublier le service fraude-anti fraude de la société d’ eau . . L’incurie, quand tu nous gère ! La mère donne la vie, comme l’eau …Sachons les préserver, contre les prédateurs fébriles ! La Mauritanie n’est pas une tribu ou une ethnie ! C’est un ensemble où nous sommes condamnés à vivre ensemble …

lundi 19 décembre 2011

Sejour de l' IGE à l' ANAIR : motus et bouche cousue .


LTV apprend de sources proches de l’ IGE ( inspection générale d’Etat ) que l’ agence pour le retour des refugiés mauritaniens au Sénégal ( ANAIR ) , ne pourrait en aucun cas être blanchie dans le cadre de l’ inspection actuellement el cours , parce que sa gestion est ponctuée de gabegie , du début jusqu’à la fin ( 2007 à nos jours ) .
De Moussa Fall son premier directeur fondateur à Ba Madine , l’héritier éleveur de génisses surfacturées , les fonds de l’ ANAIR ont de tout temps été utilisés comme des caisses noires très noires , pour financer des rapatriements fictifs . Les demandes de transferts injustifiés, des fonds de l’agence domiciliés à la BCM vers ses comptes dans les banques primaires, sont monnaie courante et lèvent un coin du voile sur les tendances malhonnêtes des responsables de cette institution .
Tous les prétextes sont bons pour justifier les mouvements d’argent : colonies de vacances pour enfants de rapatriés, achats de génisses (vaches laitières suitées) aux refugiés chez Ould Ahmedouah (marché gré à gré), constructions de clôtures pour bétail des refugiés dans la région du fleuve, achat de moulins pour insertion des rapatriés, fournitures de semences et la liste est longue.
En plus des retro- commissions qu’il empoche sur chaque marché bidon, Ba Madine percevrait également des primes sur le « rapatriement » des centaines voire des milliers de ghanéens et guinéens, candidats à l’émigration en Europe via la Mauritanie et dont la plupart sont déjà arrivés à destination, ou ont été expulsés vers leurs pays d’origine, par les gardes- frontières espagnols. Ba Madine vient de boucler l’année 2011 , en dilapidant un budget de 2 milliards d’ ouguiyas prélevés sur le dos du pauvre contribuable mauritanien . Va-t-on lui reconduire un nouveau budget pour 2012 afin d’amener des refugiés nouveau genre ? A quand la fin du carnaval bamadinien ? Qui protège les hommes de l’ANAIR contre les limiers de l’IGE ? Pourquoi ferme-t-on les yeux sur l’impunité ? A suivre

dimanche 18 décembre 2011

Politique : vers la création d' un parti de technocrates .


On apprend de sources proches de la coordination de la jeunesse déjà vieillissante de l’ UPR , que "là haut" , on réfléchit depuis un certain temps à la création d’ un nouveau parti politique qui serait composé essentiellement de technocrates , pouvant rompre avec les anciennes pratiques de clientèlisme politique et impulser une dynamique nouvelle de développement intégré .
Si cette information se confirme, cela augure beaucoup de changements en cette fin d’année, particulièrement la disgrâce du gouvernement actuel en panne de bilan malgré une longévité record de trois ans . Il faudra aussi nettoyer les fonctionnaires issus de marchandages tribaux , puis se débarrasser des rescapés du PRDS et des parlementaires peshmergas périmés , comme Sid’ Ahmed Ould Ahmed le député de Nbeika qui ôte son pantalon publiquement dans l' hémicycle , pour applaudir le gouvernement de Moulaye , Sidi Mohamed Ould Maham d’ Atar , Khadjatta Malick Diallo , Ba M’baré et Kane Hamidou Baba de Saint-Louis - Gueblett Lebhar . Boidiel ente vem !
A son mi-mandat, le président Aziz peut se targuer aujourd’hui d’un bilan hautement positif à tous les niveaux, mais la machine dont il dispose pour la réalisation du reste de son programme n’est plus suffisamment huilée. C’ est pourquoi, il faut du sang nouveau pour changer son fusil d’épaule et faire face aux grands chantiers qui attendent le deuxième mandat. Donc, beaucoup d’ères nouvelles en perspectives, mais sans le RFD. A suivre

mercredi 14 décembre 2011

Echéances électorales prochaines : changer les élus "périmés".



Il est bien probable que les échéances législatives et municipales prochaines seraient l’ occasion pour les électeurs , de procéder à des règlements de compte en désavouant tous les élus sortants , quelles soient leurs tendances , parce que durant les cinq dernières années de leurs mandats , ils n’ ont fait que le trafic d’ influences pour se remplir les poches , ou placer des proches parents ou ceux de madame .
Les villes et villages de l’intérieur du pays, connaissent une situation de délabrement sans précédent dû à l’entassement des immondices et des déchets de toutes sortes. Aucun élu , député ou maire soit-il , n’ a jamais fait aboutir une requête quelconque en faveur de sa circonscription !
Les populations ont remarqué sur TVM- vidéo enregistrée, que certains députés sont muets , sourds et aveugles et que d’autres plus bavards ceux là , ont passé tout leur temps à faire de la transhumance politique à la recherche des intérêts égoïstes.
Il s’agit de El Ghassem Ould Bellel , El Khalil Ould Etayib , Ould Babana et autres versatiles parlementaires - menteurs du quinquennat qui s’achève .
S’ agissant des maires , la situation n’ est pas plus reluisante , parce que Nouakchott vient d’ obtenir la médaille d’ or de la capitale la plus sale du monde , avec le maire le plus frivole de l’ année , passant tout son temps entre deux avions .
Sur la frontière , Nouadhibou a un maire boxeur qui remplit bien son temps à cogner le Wali Ould Ahmed Youra , pour avoir des lettres d’ attributions de terrains à revendre , en zones résidentielles - Dubai et Leareyguib .
Quant à Rosso, il n’ ya plus de maire du tout , parce que le colonel Fassa s’ est recyclé en transitaire , élisant domicile au bureau des douanes du PANPA , en partenariat avec Habib Fall , l’ex douanier à la retraite qui guigne la place du professeur à la mairie de Legouareb .
Pendant ce temps , madame la maire de Sebkha est occupée à justifier convenablement sa mauritanité , suivant les critères exigés par l’enrôlement en cours .
En tous cas , les députés et maires sont périmés( Varigh Tarikhoum = fin de leurs mandats) et ils doivent dégager , parce qu’ils travaillent maintenant en toute illégalité . Jusqu’à quand ?

lundi 12 décembre 2011

Biram Leabeid primé par le Mossad israélien .


La loi mauritanienne est claire sur les peines de trahison à la nation : c’est la pendaison en public.
Parmi les machinations passibles de cette peine, il ya l’espionnage au profit d’un État étranger , ennemi.
Dans son passé, on ne connait au phénomène Biram aucun militantisme, à quelque niveau que cela soit, ni intérêt quelconque pour une question nationale.
Tout au court , on lui connait une seule chose : l’amour de l’argent, ce qui lui a couté la prison durant son exercice de la fonction de greffier, quand il vola un dépôt d’argent au tribunal.
Aujourd’hui, l’homme est devenu très actif depuis la fermeture de l’ambassade d’Israël en Mauritanie, événement qui a fait subitement de lui un militant antiesclavagiste et un droit de l’ hommiste qui sillonne les capitales du monde à la recherche de l’Etat qui donne le plus, pour déstabiliser la Mauritanie .
Il dirige aujourd’hui l’ IRA , une organisation non reconnue , dont les membres du bureau exécutif sont des extrémistes des FLAM , un autre mouvement illégal en exil ayant des anciennes et profondes alliances , avec l’ ennemi sioniste . Donc en plus d’Israël, le peuple mauritanien a aujourd’hui deux ennemis qui sont Biram et les FLAM .
Quant à Biram , il vient de recevoir Samedi dernier , un prix de 15 OOO euros , qui lui a été remis en Allemagne par madame Nourite Aviv (photo) qui travaille pour le Mossad en Allemagne , en France et en Italie .
Cette prime est destinée à Biram en guise de récompense pour à ses efforts inlassables , en matière de travail de sape contre la prédominance de l’unité arabe en Mauritanie .
Qu’attend-on maintenant pour passer à l’exécution d’une peine de mort contre ce traitre à la Nation , puisque nous avons des preuves irréfutables sur sa collaboration avec l’ étranger , pour mettre le pays à feu et à sang ?

dimanche 11 décembre 2011

PANPA : va-t-on assurer les sorties TC de cyanure ?


Depuis plus de deux décennies, on s’en souvient toujours, les sociétés d’assurances privées ne cessent de solliciter l’appui des douanes , pour contraindre les pauvres importateurs mauritaniens, à payer des droits d’assurance pour les produits à l’ importation .
Jusqu'ici, les douanes étaient intraitables devant cette requête injustifiée et le législateur mauritanien n'a jamais rendu obligatoire l' assurance de la marchandise à l' importation . Nous sommes dans un État de droit , mais il semblerait que le ministre des finances monsieur Thiam Diambour , soit entré aujourd’hui dans la dance pour , semble-t –il , imposer dés le premier janvier prochain, la mise en application d’ une directive contraignante pour les importateurs qui devront désormais s’ acquitter des droits d’ assurances , avant ceux des douanes proprement dits , pour acheminer les conteneurs du port de l’ amitié , vers la ville de Nouakchott ! Un risque d’immixtion dont la douane assainie pourrait bien pourtant faire l’ économie , parce au port de Nouakchott , il ya déjà une brigade de la gendarmerie qui habite dans un conteneur vide au terre-plein depuis la création de l’ établissement par les chinois vers les années 80 , et qui pourrait être investie de cette mission d’ assurance que rien ne justifie pour le moment , surtout quand on sait qu’ il n’y a aucun risque à acheminer des caisses de lait Gloria , vers l’ épicerie Bigmarket - cité Moawiya , ou des palettes de carreaux vers le marché – Clinique , ou un conteneur de thé vers Charea Errizgh , ou des rouleaux de Bazin vers Kerch El Batroun .
On pourrait toutefois vivement souhaiter l’obligation de souscrire une police d’assurance pour les produits mortels de cyanure à destination de Tasiast et MCM !
En tout état de cause, la mission des douanes reste et demeure la collecte des droits à l’importation et non de jouer au gendarme pour renflouer les caisses des assureurs privés qui prolifèrent dans le pays.
Une question se pose : pourquoi recourir ici aux douanes pour faire passer cette mesure qui ne les concerne pas ? Si un importateur liquide les droits de douane , il peut jeter ses produits à la mer s' il le désire , et ce n' est pas le problème des douanes !Mais est- ce peut être à cause de la crédibilité aujourd’hui retrouvée par ce corps , ou bien est-ce que le phénomène de la "Misgharisation" a atteint le corps des hommes de Ndiaga , qui ne peuvent plus remplir correctement leur mission de contrôle des assurances ? N’y a-t-il pas aussi une tutelle des assurances , qui est le ministère du commerce ?
En tous cas, au moment où les douanes préparent tranquillement en beauté leur fête, le 26 Janvier prochain, elles n’ont jamais eu besoin de faire recours aux assureurs pour assurer leurs prévisions annuelles, voire les dépasser. A suivre

mercredi 7 décembre 2011

BAMIS :point de vue sur l' usurier .


Un bâtisseur ne fait pas ses valises, il démissionne quand ça le chante.
Le jeune au lieu du petit Taya a pris les commande de la Bamis en tant que directeur exécutif a 36ans exactement.

(A trente ans on a l’age de son père quelque soit l’age du père)

Auparavant il a exercé la fonction de banquier, juste a sa sortie de l’université.
C’est la raison pour laquelle il a été choisi par le holding MAOA pour redresser une boite dans un état lamentable.
Tous les anciens du personnel ne peuvent me contredire.
Donc, il n’est pas question de prospérité à l’époque, loin de la.
Nous étions souvent exclus de la chambre de compensation de la BCM
Al Baraka subsistait grâce aux pensions accordées aux comptes goûte par la banque d’émission.
Nous personnel, avons vécu une période de vache maigre et de dèche insupportables
Il nous a fallut 3ans d’efforts collectifs pour surmonter la pente.
Le fruit mur on l’a cueillit.
Le personnel profite depuis lors des gratifications, du 13 ième mois, des soins médicaux remboursés à 80 pour cent, deux individus vont en pèlerinage, une mutuelle pour les mariages, les décès et un repas consistant tous les jours ouvrables,etc.

La Tasiast n’a pas clôturé son compte à la Bamis, la Mourabaha, la Moudaraba et la
Moucharaka, qui existent toujours, ne l’intéresse pas et n’importe qui sait pourquoi.
Nous ne pouvons empêcher la Tasiast d’ouvrir des comptes aux Bahamas, si elle le juge utile.

Pour votre information
Le capital de la Bamis est de cinq Milliard Cinq Cent Millions D’Ouguiya(5 500 000 000 )
Mr. Hasni que nous respectons et regrettons sincèrement est parti de son propre grès.
Je me suis renseigné auprès de lui.

Messieurs Sidi Aly Dr. exécutif adjoint et Mohmeden Oca, sont en ce jour mardi 60.12.2001
A 15 heures 49 mn, dans leurs bureaux de la bamis BP 650 a Nkc.

Ce que pense l’entourage de Hamden, n’intéresse pas la Bamis.
Quand Mr. Hamden veut dire quelque chose à la bamis, il n’a pas besoin d’un intermédiaire.
Mr. Hamden et la bamis = (EZAM EBLA MAVSSAL).

(WESSELAM YERRAJEL EL MAALOUM).

M.E.C.
6 décembre 16h:38

Voie publique : circulation à la Wezni "Misgharisation" .


Ces derniers jours, les usagers peuvent remarquer la présence sur la voie publique d’un nouveau corps chargé du maintien de l’ordre. C’est ce qu’on appelle dans les salons de Nouakchott, la police du nouveau Général de la garde, monsieur Misgharou !
Mais jusqu’à présent, personne ne comprend distinctement encore si ce corps est une police ou une garde, ou une gendarmerie ou une douane ou des supplétifs de la police des mines ou une police municipale ou une police des stupéfiants ! Qui peut nous dire ?
Pendant que le corps de Misgharou règne sur la circulation à Nouakchott aux Carrefours Madrid, cité SMAR , Tivisky et carrefour Tensoueilim- virage Eddik , les éléments de l’ex vraie fausse police de la circulation , se cachent pour mourir !
Dans son accoutrement et ses manœuvres, le corps de Misgharou ressemble plutôt aux Thouar de Libye dans une banlieue de Syrte, sur les traces de l’ex guide de la Gemahirya , feu Khaddafi…
Une autre question reste posée : pourquoi les hommes de Misgharou donnent-ils toujours la priorité à gauche, même aux charrettes trainées par les ânes, contrairement au code de la route qui fixe la priorité à droite sans signalisation ?
Ont-ils d’ ailleurs appris les règles de priorité pendant leur formation expéditive à l’école de police, ou bien est-ce que c’est tout simplement la Misgharisation de la circulation ?
LTV conseille au très Général Misgharou , d’ envoyer ses éléments à l’ EMIA d’ Atar pour bénéficier d’une formation plus spécialisée et devenir ainsi des vrais Thouar , capables de déloger les hommes de la DGSN . En attendant, ce sera toujours la circulation à la Wezni Misgharisation …

lundi 5 décembre 2011

BAMIS :l'usurier fait ses valises.


Pour ceux qui ne le savent pas, monsieur Mohamed Ould Taya a été nommé par le groupe MAOA, à la tête de la banque El Baraka islamique(BAMIS) à la fin du siècle dernier. L’homme venait directement de Nouadhibou où il dirigeait la SOMACIR-frigo, un autre puissant groupe de pêche appartenant aussi à MAOA à l’époque florissant, tout naturellement.
Au moment où le petit Taya a pris les commandes de cette banque, elle était plus que prospère grâce aux salubres transactions basées sur la Charia islamique.
La première décision prise par Ould Taya au moment de prendre service, était de faire d’abord sortir la banque du système islamique, vers le Ribaa (l’usure ) à ciel ouvert ! C’est ce qu’on appelé l’ universalisation et la banque a été rebaptisée EL WAVA … Mais quel résultat aujourd’hui ?
- EL WAVA est actuellement menacée de fermeture à cause de la fraude fiscale et le non payement des impôts depuis une décennie (3 milliards d’ouguiyas environ).
- les clients dont Tasiast surtout, sont entrain de quitter la BAMIS pour ouvrir des comptes à la société générale.
Suite à cette crise, trois grands directeurs fondateurs de la BAMIS viennent d’être injustement limogés cette semaine : il s’agit du directeur d’exploitation, monsieur Hasni le pieux, Ould Cheikh Abdellahi demi-frère de SIDIOCA et de Ould Sidi Aly de Boutilimit .
On pense dans les milieux bancaires que la banque de Ould Taya , est entrain de mettre la clé sous le paillasson parce que l’ actuel redressement fiscal de 3 milliards dont elle vient de faire l’ objet , dépasse de loin son capital .
Des sources proches de Hamden Ould Tah le conseiller islamique de cette banque devenue Eribaa , confirment bien que son triste destin est tout simplement JEZAOU MEN YAASSI ALLAH . Maintenant on connait le sort de la BAMIS, mais quel sera celui de Ould Taya , l’ usurier intercontinental ? Ould Taya n' a récolté que ce qu' il a semé mais , avant de faire ses valises, il doit d’ abord faire la lumière sur le compte EZAKAT( aumône légale ) ouvert à la BAMIS et prélevé sur les dépôts des clients depuis la création de la banque . Les pauvres n’en ont jamais bénéficié et c’est pour cette raison d' ailleurs qu’il n’ y a pas eu de pluies cette année et les années précédentes ! Naoudhou Billah Mine Ghadabi Allah ...

dimanche 4 décembre 2011

Meeting de l' UPR à Nouadhibou : nouvelle copie du PRDS .


L’UPR vient de donner encore une fois la preuve éclatante si besoin est, qu’il reste vraiment le fils unique et génétique du PRDS ( Ould PRDS min Selbou ) .
Rien qu’à voir la horde de militants contingents qui sont venus ce Vendredi 3 décembre à Nouadhibou, pour assister soit disant au meeting de clôture de la campagne de sensibilisation sur les conclusions du dialogue pouvoir /opposition, on se rend compte aisément que l’UPR n’est rien d’autre qu’une copie conforme de l’ ex PRDS .
Mais ici, l’originale ressemble parfaitement bien à la copie, parce les participants à ce meeting, sont à 80% des anciens militants du défunt PRDS de l’ancien système de Muawiya.
Il y avait Ould Ahmedouah , Moudir Ould Bouna , Mohamed Mahmoud Ould Jafaar l’ ex ministre de la défense de Ould Taya , Ould Dermane le ministre versatile du commerce , ancien employé d’ Ehel Noueyghed , Abdellahi Ould Nem l’ ex fédéral du PRDS à Nouadhibou , Thiam Diambour le ministre des finances , vedette du meeting et ex directeur des dépenses communes sous Taya , et la liste est longue , très longue .
Au delà de ce conclave des hypocrites gros calibre nostalgiques des pratiques de détournement et des enrichissements illicites, il y a une question qui taraude tous les esprits : est-ce que "là haut" , on croit réellement en ces applaudisseurs inlassables qui s’agitent encore de nouveau, pour mettre le pays à genou et se remplir les poches ?
Ce bataillon des hypocrites de l’UPR et leurs acolytes habituels, auraient mieux fait de nettoyer d’ abord la ville de Nouadhibou où il n'y a plus aucune activité économique digne de cette appellation. Seuls les ânes, les chiens et chats errants se contentent encore des déchets des fabriques de poisson sur la plage abandonnée des pêcheurs … La capitale économique a surtout besoin d’ un programme de sauvetage multidimensionnel et non pas des discours fleuves de politique politicienne !