vendredi 29 août 2008

Changement du 06 août et l’OUA : Sékou Touré ne disait-il pas que « l’OUA n’est qu’un petit syndicat de chefs d’Etats, eux-mêmes issus de coups d’Etat


La position actuelle de la communauté internationale face au mouvement rectificatif, du 06 août dernier, n’est que du déjà vu : condamnation de principe qui sera suivie de la reconnaissance progressive selon les intérêts dans le pays considéré.
Churchil disait que « nous n’avons pas d’amis permanents, nous n’avons pas d’ennemis permanents, mais nous avons des intérêts permanents. »
L’ancien régime déchu de Ould El Waghef et de Sidioca est déjà presque oublié. On ne trouve ses traces que dans l’inconscient de Messoud Ould Boulkhair et dans les archives de la Fondation KB ou du scandale du PSI (Programme Spécial d’Intervention), détourné par Koréra Issagha, ex ministre de l’agriculture, fourni par Messoud Ould Boulkhair.
Seuls Bedredine ou Bedre Elweil, Jemil Ould Mansour le griot raté, recyclé en islamiste et Ba M’baré, pleurent encore Sidioca.
Les nouveaux maîtres de Nouakchott volent la vedette partout à l’intérieur du pays (marches de soutien).
les occidentaux, contrairement à ce qu’on pense, ont déjà des intérêts en Mauritanie et font actuellement appel à des spécialistes pour les éclairer sur le passé et surtout les intentions du nouvel homme fort, le général Mohamed Abel Aziz, chef de l’Etat.
Les puissances étrangères considèrent toujours, que les militaires ne tiennent pas souvent les promesses de la première heure, selon lesquelles ils ne restent pas au pouvoir, et vont organiser des élections présidentielles, le plutôt possible.
Mais l’actuel Haut Conseil d’Etat semble vouloir éviter de tomber dans les engagements hâtifs, genre 03 août 2005 (CMJD), qui ont conduit le pays dans la situation et le chaotique actuel, parce que le pouvoir a été très vite remis par le CMJD à des irresponsables sous la pression irresponsable de la communauté internationale, friande de démocraties des chimères.
Le Haut Conseil d’Etat ne veut pas en effet donner à cette communauté là, des gages réels pour un retour imminent à ce qu’on appelle "une vie constitutionnelle".
L’exemple catastrophique, mais heureusement éphémère de Sidioca, à la tête de l’Etat a en effet, créé une véritable crise de confiance entre les généraux et les hommes politiques mauritaniens, toutes tendances confondues.
Et l’establishment politique actuel est malheureusement incapable de secréter un homme présidentiable. On n’invente pas un président. Il se situe lui-même et s’impose par la compétence, le discours et les qualités politiques rationnelles.
Messoud Ould Boulkhair, le Mandela contre façon, a déçu toute la république durant l’ère Sidioca, qui, à toute chose malheur est bon, lui a servi de test non concluant.
En effet, de Mbarka la vendeuse du couscous, en passant par Mahmoud le boucher d’El Mina, jusqu’à Bilal le planton du Ministère des Finances, tout le monde sait aujourd’hui que Messoud ne cherche que son propre confort personnel.
Dès son installation au perchoir, il s’est complètement métamorphosé en changeant de milieu et de clientèle. Il ne comprend aujourd’hui que le langage de l’argent et les deux ministres qui ont pillé le pays sont des ministres messoudiens, en l’occurrence Koréra Issagha et Ould Yali respectivement ex ministres de l’Agriculture et de l’Hydraulique et Energie. Ils se sont enrichis à une vitesse lumière, en achetant des villas dans les quatre coins de Nouakchott. Quand Sidioca en a parlé à Messoud, ce dernier lui a répondu tout simplement que ses ministres font comme tous les autres ministres, en pillant les deniers publics. Quel sens de l’irresponsabilité !
Pour la petite histoire, Koréré Issagha vient d’acquérir des appartements jumelés à Nouakchott à 100 millions d’ouguiya prélevés sur les fonds du PSI (Programme Spécial d’Intervention) dont l’exécution est un crime et un scandale retentissant. L’histoire vous en dira plus. Waghef, ente vem. Ley.
Messoud, le vieillard quant à lui, a utilisé le budget de fonctionnement de l’Assemblée Nationale, pour épouser des mineures haratines, à raison d’une vierge par mois. Quand il était récemment en vacance au Hodh, Mandela-arrivage, distribuait des centaines de mille ouguiyas aux griots et aux macros. Un homme comme ça, peut-il diriger la Mauritanie ? Ley.
Quand à Ould Maouloud, Bedre Elweil, Ould Waghef, Jemil Ould Mansour, le griot en rupture d’instruments, Ahmed Ould Sidi Baba et tous les autres badauds de ce qu’on appelle aujourd’hui le Front National pour la Défense de la Démocratie (et quelle démocratie !), y’a-t-il parmi eux, un seul qui soit présidentiable ? Ils traînent tous des casseroles sur lesquelles, il est inutile de revenir ici.
S’ils étaient des hommes patriotes, sincères et honnêtes, ils n’auraient pas demandé aux bailleurs de fonds de mettre le peuple mauritanien sous embargo ! Ça se voit alors qu’ils ne sont que des minables politicards.
Une question à la communauté internationale : pour qui alors fixer un calendrier électoral ? Y’a-t-il en Mauritanie, un jeu politique possible à l’horizon non lointain ? La Mauritanie est sous développée, sa classe politique aussi, cruellement !
Ou bien la Mauritanie n’est pas encore mûre pour la démocratie, et dans ce cas, nos partenaires au développement (la communauté internationale) doivent d’abord nous financer un projet de "maturité politique", projet qui sera surtout non accompagné de PPF et d’experts étrangers, qui prennent d’une main ce qu’on nous donne de l’autre. Ley.
L’Armée mauritanienne a désormais une légitimité devenue historique, grâce au rôle républicain de redressement et de stabilisation du pays, qu’elle a toujours joué pour sauver le pays plusieurs fois menacé de dérives (1978, 1984, 2005 et 2008).
Lakhbaar tebgue vi dar, ne défend aucune thèse militariste et ne cherche pas non plus à légitimer les coups de force, mais nous avons un credo constant : reconnaître et dire la vérité, n’en déplaise à Bedre Elweil et compagnie.
La Mauritanie est assise sur une braise aux trublions ethniques dangereux.
Si on livre le pays à un chef de secte religieuse, ayant des ramifications partout en Afrique, on ira droit dans le mur, comme c’était le cas avant le 06 août 2008.
Si, les urnes des mauritaniens ignorants ou inconscients (donc la majorité analphabète), nous mènent par contre, vers un président guerrier ou produit de l’aristocratie classique, il nous conduira inéluctablement vers la guerre avec les voisins. A quel saint alors se vouer ?
Et si un islamiste prend le pouvoir, il engagera la Mauritanie aux cotés d’Al Qaida, dans une guerre sainte, genre talibans afghans, pour faire des embuscades contre les soldats de nos amis français et autres. Ley.
La situation actuelle de la Mauritanie pluriethnique, multi tribale, régionaliste, islamiste, flamiste et tous les istes du monde, ne prête le flanc à aucune forme de démocratie viable ou acceptable.
Ce dont la Mauritanie a besoin, c’est surtout un président éclairé qui allie la forte personnalité, à l’intégrité, au patriotisme et l’intransigeance sur les questions qui touchent à la souveraineté nationale et à l’intégrité territoriale. Jean Ping, ente vem !
Cet homme là, on ne voit pas encore son ombre, du moins dans la classe politique actuelle qui est déjà partie en campagne à l’étranger, pour avoir l’embargo et faire souffrir le peuple mauritanien. Quels traîtres !
Nos voisins, la Tunisie, l’Algérie et le Mali, ont déjà secrété un président ayant un tel profil et ils font actuellement régner chez eux, la tranquillité dans la prospérité, malgré tout, et sans l’ingérence de l’Union Africaine. D’ailleurs l’UA, incapable de résoudre un seul problème en Afrique, croit que la Mauritanie est le "petit mur", qu’on peut sauter pour faire des miracles. Jean Ping, occupes-toi d’abord de la Somalie et du Kenya. Quant à la France et aux USA, ils doivent s’occuper de l’Irak, de l’Afghanistan et de la question palestinienne. Avant d’être pris en tourmente dans la nouvelle guerre froide qui reprend et qui va certainement occuper tout le monde…

A suivre dans LAKHBAAR TEBGUE VI DAR, les responsables suspects dans l’affaire KB et ses marionnettes.

dimanche 24 août 2008

Mouvement rectificatif du 06 août 2008 ou la vraie coalition politique.


L’occasion est aujourd’hui donnée aux hommes politiques de choisir entre leurs intérêts égoïstes et la cause nationale.
Que ceux qui cherchent à se positionner aux cotés de l’ancien régime déchu, sachent qu’ils ne font qu’encourager les ennemis de la Mauritanie, qui ne cherchent qu’à faire souffrir le peuple mauritanien en essayant de lui couper les vivres, pour l’unique raison qu’il prend son destin en main.
L’écrasante majorité des mauritaniens affirme son soutien aux nouvelles autorités du 06 août 2008, n’en déplaise à certaines chancelleries occidentales, qui savent pourtant que, ce qui se passe sur place est tout à fait normal.
Mais elles semblent, elles aussi, avoir choisi d’être aux cotés du mensonge et du faux.
Les politiciens démagogues, se sont aujourd’hui démasqués par eux-mêmes.
Il s’agit de Mohamed Ould Maouloud, de Moustapha Ould Bedredine (Bedressine), de Messoud Ould Boulkhair et de Jemil Ould Choueikh dit le griot raté.
Ces mêmes créatures, ont accouru récemment, comme des chacals affamés vers une carcasse d’animal, pour se partager les postes ministériels que leur offrait le traître Sidioca (voir gouvernement Waghef I).
D’ailleurs Mohamed Ould Maouloud, vous qui parlez souvent de valeurs d’honnêteté, pourquoi avez-vous choisi votre propre cousin, ex Wali de Nouakchott, voleur de terrains et places publiques, en la personne de Mohamed Ould Khlil, pour être ministre de la santé ? Où est votre honnêteté monsieur Maouloud ? Puis, pour mieux infiltrer le palais présidentiel, vous avez désigné votre acolyte de toujours, monsieur Ba Moussa comme ministre conseiller à la présidence, soi-disant pour mettre un kori, mais il y’a d’autres kori meilleurs que Moussa, n’est ce pas ?
S’agissant du griot raté, Jemil Ould Choueikh, il passe tout son temps à "flirter" par ci, par là en donnant son soutien au plus offrant, et ce n’est pas étonnant de la part d’un fils de griotte. Il s’en fout éperdument de la Mauritanie et de son peuple.
Aujourd’hui, il est clair que, ces voyous de politicards, cherchent à atteindre leurs objectifs égoïstes par n’importe quel moyen, même au prix d’affamer le peuple mauritanien.
On en trouve parmi eux des genres Hamid Karazay, El Maliki, etc.
Bedressine ou Bedrelweil, quant à lui, a fait tant de péchés et de crimes, qu’il ne recule plus devant rien. D’ailleurs, sa dernière victime est le saint savant Cheikh Ben Abou El Maali. Ethman, ente vem ? Ley. Bedressine, a besoin d’être de nouveau tabassé par les gens de Sangrava.
S’agissant du HAPNOL (Harnos Psychologiquement Non Libéré) Messoud, dit Mandela arrivage-Taiwan, qu’il sache qu’il n’est pas trop tard de revenir à la raison. Et le peuple mauritanien sait heureusement pardonner facilement !
Les Bedrelweil et autres, doivent savoir désormais, que la parenthèse Sidioca est bel est bien fermée définitivement, et qu’il y’aura bientôt des élections où chacun d’eux aura l’occasion de tenter ses chances par les urnes.
Mais votre attitude actuelle, bande d’opportunistes politicards, risque de limiter vos chances.
L’avenir politique appartient désormais à ceux qui auront choisi le camp du peuple mauritanien et ses intérêts, avant tout. Et ce sera la vraie coalition politique, à savoir ce qu’on appelle communément aujourd’hui, le chemin des "députés frondeurs", qui n’ont fait que défendre la constitution.

jeudi 21 août 2008

Messoud, Ba M’baré : Si Moaouiya et sidioca partagent quelque chose, c’est bien leur bêtise dans le choix des hommes.



Messoud et Ba M’baré, sont deux badauds qui reviennent aujourd’hui à la case de départ. Les deux chambres qu’ils présidaient, fonctionnent normalement et continueront à fonctionner sans eux.
Dès les premiers jours de leurs prises de fonction, le président de l’Assemblée Nationale est celui du Sénat, à savoir Messoud Ould Boulkhair et Ba M’baré, se sont livrés à toutes sortes de folies de grandeur : fréquentation des femmes de mœurs légères, acquisitions de véhicules de luxes, achat de villas, grâce au budget de fonctionnement des deux chambres.
Ils traitaient les parlementaires avec dédain tout en s’enrichissant à outrance sur leur dos, pensant qu’ils étaient invincibles. Ils se considéraient même comme supérieurs à la race humaine. Ley.
On voit bien, que c’était l’heure de la médiocrité, et c’est la faute des mauritaniens qui ont accepté Messoud, Ba M’baré et Sidioca.
Messoud quant à lui, n’aurait jamais dû dépasser la fonction de chef d’arrondissement de Aweinatt Zbel.
Moaouiya, a fait la grande erreur de sa vie, en nommant ce Messoud là comme Ministre de Développement Rural. Il a même nommé Ba M’baré Ministre des Pêches et de l’Economie Maritime, fonction qu’il occupait jusqu’au coup d’Etat du 03 août 2005 (avènement du CMJD). Si donc, Moaouiya et Sidioca ont quelque chose en commun, c’est bien leur bêtise dans le choix des hommes.
Messoud était un simple harnos, qui aspirait à se libérer, et le voilà tout d’un coup qui s’assoit avec les présidents des assemblées des plus vieilles démocraties du monde à savoir l’Angleterre, la France, et l’Allemagne. Il ne partage rien avec eux sauf les repas qu’il n’arrivait pas à digérer, au début. Et voilà tout d’un coup, que de bagnard, Messoud, devient la troisième personnalité de l’Etat avec 5 députés sur 95 que compose l’Assemblée Nationale.
Mais, Messoud, vous qui parlez trop de démocratie et de justice, pourquoi avez-vous usurpé le perchoir avec 5 députés seulement (part de votre APP dans le parlement) ?
Aujourd’hui, vous ne servez à rien du tout parce que votre maître Sidioca (qui voulait vous affranchir encore d’avantage de votre complexe éternel), est foutu pour de bon.
Quant à vous monsieur Ba M’baré, le rongeur de l’ex MAUSOV, continuez bien à dénigrer la Mauritanie partout, et à manipuler la diaspora mauritanienne à Paris, mais les affaires de détournement des fonds du Sénat, vous attendent toujours à Nouakchott.
Vous étiez devenu certes la deuxième personnalité de l’Etat, avant Messoud et après Sidioca, mais la Haute Cour de Justice est désormais mise en place, et personne n’est au dessus de la loi. Messoud…, Ba M’baré…, dans quel bordel, Sidioca nous a foutu !

mardi 19 août 2008

Procès du président déchu : quel destin pour Sidioca ?


Les démocraties en Afrique ne marchent pas, même si la communauté internationale n’y comprend rien. Et les exemples ne manquent pas.
En effet, les coups d’Etat en Afrique ont été plus que salutaires, pour rectifier les velléités dictatoriales de ceux que le hasard a amenés au pouvoir, comme c’est le cas pour notre Sidioca déchu, qui comptait les poteaux à la zone E Nord de Nouakchott, après son retour du Niger.
Le mouvement rectificatif du 6 août 2008, vient de permettre heureusement le déblocage de toutes les issues démocratiques, que Sidioca avait prises en otage, commettant ainsi un crime contre l’Etat et ses institutions.
Le nouveau président du HCE (Haut Conseil d’Etat) vient de convoquer une session extraordinaire du Parlement pour la mise en place des membres de la Haute Cour de Justice, ce qui va permettre de juger l’ex président mauritanien arrivé par hasard au pouvoir en avril 2007, ainsi que d’autres éléments de l’ancien régime comme Yahya Ould El Waghef (l’ex PM), Moissa Fall (le fossoyeur de l’agence pour le retour des réfugiés), Ba M’baré (président du Sénat), pour abus des fonds de l’institution parlementaire, et surtout l’ex Première dame Khattou Mint Boukhary dont la fondation possèderait des dizaines milliards d’ouguiyas, provenant probablement du trafic d’influences et du Trésor Public. On parle également de l’implication d’autres anciens responsables comme l’ex ministre des finances Ould Hama Vezaz et du directeur du PANPA, Ahmedou Ould Hamed.
Quant à ce qu’on appelle le Front National pour la Défense de la Démocratie (FNDD), il est constitué de truands et de rescapés de justice.
Pourquoi, monsieur Ould Waghef, n’avez-vous pas réfléchi d’abord à votre passé récent de pilleur de biens publics : projet Energie (privatisation de la SONELEC) dont vous avez raclé les caisses, SOMAGAZ que vous avez mise à genoux, Banc d’Arguin dont vous avez fait fuir les oiseaux (qui se cachent aujourd’hui pour mourir à la prononciation de votre nom), et la compagnie nationale Air Mauritanie, que vous avez liquidée en pleine période de départ de nos pèlerins vers les lieux saints ? Quels crimes, monsieur Waghef !
Vous avez aussi été président de la commission chargée du retour des réfugiés, et président de la commission pour le suivi du programme spécial d’intervention (PSI), et vous avez tout raclé.
Alors, comment se fait-il que vous participez à une manifestation pour le retour de l’ancien régime qui vous a fabriqué et mal fabriqué.
Sachez que Sidioca ne reviendra plus jamais au palais ocre et, vous non plus à la primature.
Quant au vieillard magouilleur Ahmed Ould Sidi Baba, il doit se contenter d’être le chef général (contesté du reste) d’une prestigieuse collectivité locale. Si Ahmed était normal, il n’aurait pas dû fréquenter Ould Waghef, qui n’a même pas le rang d’un domestique des Smassides. Ley.

Douanes du port : attention, la SONIMEX ça katkatt toujours !


La SONIMEX vient de créer un département consignation/transit à la tête duquel elle a nommé Sidi Ould Katkatt, ancien directeur financier de cette même société pendant plusieurs décennies. Une inamovibilité qui lui a permis de s’enrichir discrètement par l’acquisition de villas, aux quatre coins de Nouakchott.
Après sa mise à la retraite récente et pour s’éterniser à la SONIMEX, il en acheta une action en créant une agence de transit et de consignation appelée A.C.T, avec siège sur la route de l’aéroport.
Récemment, Sidi Ould Katkatt fut mêlé à une affaire de trafic de drogue. Après son arrestation à la brigade mixte de la gendarmerie, ses connexions avec le réseau des trafiquants n’ont pas révélé des ramifications graves avec la mafia réelle. Katkatt fut alors relâché et revient à son bureau de l’A.C.T, pour continuer les manipulations du directeur de la SONIMEX, monsieur Moulaye El Arbi.
En effet, depuis la création par Sidioca du P.S.I (Programme Spécial d’Intervention), Moulaye El Arbi le DG vide de la SONIMEX a trouvé un katkatt, pour "katkatter" les activités de la SONIMEX.
Alors, pour assurer la meilleure katkatterie, il créa l’agence A.C.T pour assurer la consignation et le transit louches.
La SONIMEX, a reçu des milliards d’ouguiyas de l’Etat dans le cadre du PSI, et acheminée des quantités énormes de blé avarié à l’intérieur du pays, en vendant le même blé pourri pour le prix de la meilleure qualité. C’est normal, parce que Moulaye le vide est un petit architecte et ne connaît rien à l’économie, et encore moins à la politique de stabilisation des prix et de l’approvisionnement du marché. Ce n’est pas l’homme qu’il faut à la place qu’il faut, mais pour vivre heureux à la SONIMEX, il magnétisa l’accès au siège et c’est tout ce qu’il a déjà fait de bon depuis zinzin.
A la SONIMEX, c’est vraiment la pourriture dans la corruption qui règne actuellement. C’est la première fois en effet, qu’un directeur de la SONIMEX créé une agence de consignation pour "consigner" la SONIMEX, au mépris de son objectif initial à savoir la promotion de l’import et de l’export.
Les douanes du port doivent être attentives aux katkatteries de Soueidi le fossoyeur de la SONIMEX et ses intentions mafieuses. Surtout attention aux conteneurs SONIMEX, lutte contre le trafic de drogue oblige. L’homme est devenu d’ailleurs déséquilibré depuis qu’il a été mêlé récemment à l’affaire de la drogue en Mauritanie et l’un de ses proches est toujours entre les griffes de la sûreté de l’Etat.
Quant au DG de la SONIMEX, Moulaye, petit bagage oublié de Zinzin, il doit être jugé pour abus des biens publics (fonds du PSI), puisqu’on est en pleine période de lutte contre la corruption.
Soueidi Ould Keitkatt à son tour, a un long passé, depuis la création de la SONIMEX jusqu’à nos jours.
Lakhbaar tebgue vi dar va faire des révélations sur les katkatteries criminelles à la fin du mois béni de Ramadan.

mercredi 13 août 2008

Condamnation du changement du 06 août par la France : une position basée sur l’ignorance des réalités mauritaniennes.


L’Elysée a, de façon inhabituelle, précédé le quai d’Orsay, dans sa désapprobation du changement intervenu le 06 août 2008 à la tête de l’Etat mauritanien.
La France, a vite oublié qu’elle assure aussi la présidence de l’Union Européenne, car, pour une telle déclaration, elle aurait dû consulter les 25 autres Etats membres de l’Union Européenne, pour avoir leurs avis.
Paris, ne s’est même pas donné le temps d’avoir aussi une idée précise de la situation sur place.
L’ancienne puissance coloniale dispose pourtant, d’une très grande ambassade implantée à Nouakchott depuis déjà 1959, et sur plusieurs kilomètres carrés. Elle devait être donc le pays le plus informé sur ce qui se passe en Mauritanie.
Les mauritaniens qu’elle observe ont changé à une vitesse vertigineuse et toutes les analyses des plus professionnelles, sont aujourd’hui devenues anachroniques.
Dans son communiqué du mercredi 06 août 2008, l’Elysée nous a donné l’impression, d’être follement amoureuse de Sidioca et que, pour des raisons de cœur, elle est uniquement attachée à sa personne.
Mais rappelons à monsieur Sarkozy, ancien ministre de l’intérieur, que les relations entre les Etats, se fondent sur les intérêts et non sur les personnes.
Monsieur Sarkozy, vous l’avez bien dit à Dakar : la période Foccart est révolue, mais vous ne nous en donnez pas la preuve actuellement, à travers votre position sur l’actuel changement en Mauritanie dont les raisons profondes vous échappent malheureusement.
Vous dites que vous refusez l’organisation d’élections présidentielles en Mauritanie ; mais permettez-nous d’attirer votre attention sur le fait que la Mauritanie, n’est pas la France : ce qui est valable en France, ne l’est pas en Mauritanie.
Puisque nous parlons de votre pays des droits de l’homme, vous nous avez appris que chaque pays est libre dans son propre destin. Il appartient alors aux mauritaniens, et à eux seuls, de condamner ou d’approuver ce qui se passe chez eux.
Nomades que nous sommes, il est difficile de nous apprivoiser politiquement.
En attendant, nous vous invitons à passer quelques mois dans notre désert et vous allez découvrir qu’il y’a d’autres horizons que ceux qu’offre l’hexagone.
Revenons un peu à votre menace de geler l’aide à la Mauritanie : nous vous rappelons que vous nous donnez d’une main ce que vous récupérer de l’autre.
En effet, une grande partie de votre aide est absorbée par les chômeurs français qui accompagnent l’exécution des projets en Mauritanie (consultants, experts, conseillers et autres).
Mais, si demain Total découvrait l’or noir en plein désert mauritanien, ce sera les louanges aux généraux et les avions du GLAM vont faire la navette entre Nouakchott et villa coblet.
Les relations entre la Mauritanie et la France sont plus solides que le passage éphémère d’un vieillard, appelé Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, au crépuscule de l’âge et affaibli par des longs exiles, que les mauritaniens ne connaissent pas et qui est manipulé par son épouse et sa fille.

Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi transféré de Nouakchott.



Selon des sources généralement bien informées, le président déchu monsieur Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi vient d’être transféré du centre de conférence (Palais de congrès), où il était détenu, vers une destination inconnue, à bord d’un hélicoptère.
On parle de la prison de Tichitt, où on détient généralement les anciens chefs d’Etat, victimes de coups de force, d’autres sources évoquent la probabilité d’un transfert vers le fort de Oualata, ville ancienne située à l’extrême nord-est du pays.
On rappelle que le président déchu était en résidence surveillée, après la libération de son premier ministre Ould El Waghef et quelques autres dignitaires de l’ancien régime. A suivre…

mardi 12 août 2008

Diplomatie : l’autre crime de Sidioca elmakhlouâ



Dès sa prestation de serment, sidioca makhlouâ (déchu) nomma n’importe qui et n’importe où, à la tête des missions diplomatiques mauritaniennes à l’étranger.
A Washington, capital des supers puissants, il nomma un badaud du nom de Dia Ibrahima, comme si les haal poulaar ne comptent pas des grands intellectuels dignes des postes d’ambassadeurs, surtout aux USA. Ley.
Personne ne connaissait ce Dia là en Mauritanie. Il aurait été un employé dans une organisation internationale en activité en Abidjan (Cote d’Ivoire).
Le voilà aujourd’hui, qui se permet de démissionner, alors qu’il se savait révoqué d’office, pour incompétence et mauvaises mœurs (homosexualité). Il cohabite actuellement avec son bien aimé à la résidence de l’ambassade de Mauritanie à Washington DC.
Puis Sidioca makhlouâ, nomma Lematt Mint Ewnen, la spécialiste des commérages dans les baptêmes, comme ambassadeur à Paris, comme si Sarkozy s’intéressait aux mauresques voilées. Et il y en a de plus intelligentes que Lematt.
Quant à la voleuse de bijoux, la Mounina Mint Abdoullah, elle se la coule douce dans les milieux genevois, comme ambassadeur extra vulgaire et pleine de poussière de Sidioca makhlouâ, auprès du gouvernement helvétique et des organisations internationales.
Elle passe tout son temps à composer du tebraâ sur Sidioca.
Les exemples du choix minable de notre ex président malgré lui, ne manquent pas.
D’ailleurs l’ère Sidioca makhlouâ (déchu), par sa durée éphémère, ressemble beaucoup à l’empire centrafricain. Et s’il y’a des bokasseries à Bangui, nous avons des si-dio-caries en Mauritanie.

Roumouz el vessad, ère Sidioca : numéro zéro zéro deux (N°002).



Ahmedou Ould Hamed, l’actuel directeur général du port autonome de Nouakchott est numéro 2 dans la liste des roumouz el vessad, génération Sidioca.
Il nous a fallu 20 ans de période Moaouiya pour avoir des roumouz el vessad (incarnation du gaspillage), mais durant l’ère Sidioca, il nous a suffi 15 mois pour en avoir des centaines.
Ahmedou Ould Hamed, l’actuel DG du port de Nouakchott, est beau-père de Mohamed, fils du président Sidioca makhlouâ.
Pour se faire couvrir, et protéger ses micmacs de crimes économiques, Ahmedou le nullard donna sa fille en mariage à Mohamed Ould l’ex empereur Sidioca.
Il nomma également Mountagha Ould Cheikh Abdellahi, le vorace ignorant, comme responsable des approvisionnements du PANPA, pour mieux se servir directement des caisses.
En moins d’un an, Ahmedou ideydbisa la quasi-totalité du personnel du port.
Il fit main basse sur l’argent destiné à l’entretien des locaux de l’établissement portier. Durant une année, aucune couche de peinture n’a été faite sur les locaux du PANPA, exposés aux intempéries (corrosion maritime), alors que dans les normes, les bureaux du siège du port, devraient être repeints tous les trois mois.
Mais Ahmedou le dictateur vaurien, préféra acheter des dizaines de villas aux quatre coins de Nouakchott et donner des fonds faramineux à la fondation KB, au mépris de l’IGE. Ould Horma en sait quelque chose. N’est ce pas ? Ente hem !
A suivre prochainement, Moissa Fall numéro zéro zéro trois (N°003)

lundi 11 août 2008

Messoud la crapule gonflée.


Depuis qu’il a été nommé comme président de l’Assemblée Nationale, en guise de récompense pour son soutien à Sidioca au deuxième tour des élections présidentielles, avec un salaire de plus de 5 millions d’ouguiya et un budget de fonctionnement à sa discrétion, Messoud Ould Boulkhair est devenu très "gonflé", nouvelle alimentation abondante et résidences somptueuses obligent.
Mais, Messoud, peux-tu dire aux mauritaniens, et à l’opinion internationale, parce que tu sembles avoir un devoir envers elle, comment es-tu venu au perchoir. Comment se fait-il que ton APP n’a que 5 députés sur les 95 qui composent l’Assemblée Nationale, et tu deviens président ?
Pouvez-vous nous expliquer cela sur RFI, la radio qui écoute n’importe qui et n’importe quoi et donne même la parole aux malades mentaux (plein sud, on est où là, etc.).
Certaines rumeurs vous accusent de détournement des jeunes filles mineures, en les mariant grâce à l’argent du contribuable mauritanien, une sorte de viol voilé (une vierge tous les deux mois). Vous devriez avoir amené beaucoup de viagras lors de votre dernier séjour en France pour consultation médicale de confort aux frais de l’Etat mauritanien. Ley.
Ce sont aujourd’hui les mêmes députés qui vous ont nommé en vous affranchissant, qui vont vous destituer bientôt.
Bizarre est aussi votre façon de démocratie à vous : vous parlez au nom de 90 députés que vous ignorez.
Avec toutes les péripéties du perchoir, vous n’avez jamais pu vous libérer de votre statut de HAPNOL (harnos psychologiquement non libéré). Vous avez également oublié que vous n’avez plus de base, parce que vous êtes rentré dans la cour des grands, de laquelle vous allez devoir sortir bientôt. Où irez-vous alors ?
Essayer plutôt le métier de facilitateur dans les conflits sous-régionaux. Kadhafi pourra vous aider à trouver un job dans ce domaine.

Roumous El Vessad génération Sidioca


Lakhbaar tebgue vi dar annonce à ses visiteurs la publication de la liste de la nouvelle génération des prédateurs, sécrétés par sidioca, durant les 15 mois de son règne.
Nous la débuterons par son numéro zéro zéro un (001) qui n’est rien d’autre que Ahmed Ould Mohameden, l’ancien ministre des transports du premier gouvernement de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, connu sous le nom de "l’ampoule qui rassure". Ley.
Ould Mohameden, tenez-vous bien, est un moughadem dans la secte religieuse tijania, et il a été nommé au port autonome de Nouadhibou pour être en contact direct avec les fonds afin de pouvoir financer à l’occasion, les voyages de Sidioca et suite à l’étranger, surtout à Médina baye, Kaolack où ont été transférés tous les fonds de la caisse noire de l’Etat (dons et pourboires, etc.)

A suivre Mohameden prédateur number one dans notre prochaine publication, ainsi que la liste des autres fossoyeurs de l’Etat (Roumouss el vessad, ère Sidioca).

mercredi 6 août 2008

L’empereur Sidioca destitué comme Bokassa.


L’empereur et l’ex impératrice Sidioca et KB (ex première dame de Lemden), ont été détrônés tôt ce matin par les forces armées et de sécurité, dépositaires en dernier recours, de la légitimité nationale.
Sidioca (SI IDIOT QUE ÇA !) a voulu humilier tout un peuple, en marchant dessus avec son épouse et ses enfants mal éduqués.
Cette chute de l’ex empereur a commencé, quand ce dernier a voulu vider l’armée nationale de ces meilleurs officiers.
Déjà, Sidioca s’accrochait à n’importe quel file, pour sauver le reste de son mandat.
Il a corrompu les députés d’Aioun et de Timbedra, en nommant leurs protégés à l’ADU et à l’AMEXTIPE.
En effet, le tristement célèbre ex huissier du MAEC, Mohamed Lemine Ould Khattri, a été nommé à la tête de l’ADU (Agence pour le Développement Urbain), institution qu’il est incapable de diriger ; mais, c’était le prix qu’on a payé pour corrompre son cousin, monsieur Taleb, le député ghalawi d’Aioun.
Il faut préciser ici que cet homme est très facile à acheter, parce que, du temps de Taya déjà, Mohamed Lemine Ould Khattri fut nommé ministre de commerce, puis directeur général de la SOCOGIM.
N°25, il figure en bonne position sur la liste des roumouz el vessad.
Sidioca se disait contre la gabegie et la mauvaise gouvernance et, le voilà qui a corrompu des gens de façon flagrante en les nommant hors conseil des ministres, alors que ces deux postes (ADU et AMEXTIPE), ne font pas partie de ceux auxquels le président peut nommer par décret. Quel despotisme !
Il s’est livré également à la séquestration de Messoud Ould Boulkhair, président de l’Assemblée Nationale qu’il a assigné à résidence, aux environs de Adelbeghrou, pour empêcher la tenue d’une session extraordinaire de l’Assemblée Nationale.
D’ailleurs ces nominations-corruption ont été bien annoncées sur El Jazzera et El Arabia, par les deux acolytes de Sidioca en l’occurrence Bedressine de l’UFP et Aboubekrine Ould Ahmed, le traître de la cause islamiste.
Dans ces folies de nominations, on savait déjà que Sidioca manoeuvrait seul comme le malade parkinson.
Maintenant, Sidioca, estimes-toi heureux, parce que tu es libéré d’une charge qui dépasse tes compétences et vas y finir tes derniers jours de retraité du Niger, à Lemden.
Aujourd’hui, un conseil d’Etat est créé, et les officiers patriotes qui le composent, sauveront la Mauritanie, comme par le passé.

mardi 5 août 2008

Pêche : les secousses sismiques de Nouamghar, vont-elles faire trembler les nouveaux barons de la mer ?


Comme on dit, houte yeblaa houte (les poissons engloutissent d’autres).
Les anciens armateurs qui étaient les chefs de file du secteur de la pêche ont succombé aux lourds fardeaux des charges et de dettes.
On peut en citer Nejachi Ould Jouba, Ould Jeilani, Fadel Ould Abeidrahmane Abass Bouguerbal, Noueigued et MAOA, et tout récemment Naha Mint Mouknass et frères.
Les nouveaux maîtres, consignataires des flottes étrangères répondent aux noms de : Meyloud Ould Eli Ould Lekhal (première flotte), Ahmed Ould Hamdi Ould Mouknass (deuxième flotte) et Maurice Benza (troisième flotte), entre autres.
Les noms changent, les flottes aussi, mais la situation du secteur demeure la même !
Les bateaux étrangers aspirateurs viennent toujours piller nos ressources halieutiques avec parfois, notre complicité ; et ils partent faire des millions d’Euro de bénéfices nets par marrée.
Pendant ce temps, les populations de Nouadhibou s’enfoncent dans la misère.
Quand un peu de poisson circule entre plus de trois mains, Nouadhibou revit, mais quand il n’y a plus de poisson, c’est la mort dans la capitale économique.
Cette situation est la même depuis les années 80 jusqu’à nos jours.
Les walis se sont succédés, les délégués maritimes aussi, les différents ministres de pêche ont faits de beaux discours dans lesquels ils ont promis ciel, mer et terre. Mais rien n’est fait à ce jour.
La dernière couleuvre qu’on a fait avaler aux gens de Nouadhibou est celle de la création d’un pôle de développement, et on n’a rien vu non plus.
Nouadhibou ne vit pas d’agriculture, ni d’élevage. Elle dépend uniquement de la mer, donc de la pêche et de l’impact de la pêche. Pas de pêche, pas de Nouadhibou, parce que même les employés de la SNIM vivent en réalité de la pêche.
On a beau dire que c’est notre capitale économique, mais il suffit de saboter le secteur de la pêche pour que tout disparaisse.
Il ne faut pas demander aux étrangers qui viennent piller la ressource, de développer la ville de Nouadhibou à notre place. Il ne faut pas non plus s’attendre à ce que les représentants mauritaniens des sociétés de pêche étrangères, investissent les royalties qu’ils perçoivent pour le bien être de la ville, parce que tout simplement ils ne sont pas de Nouadhibou.
Demander par exemple à Meyloud Ould Eli Ould Lekhal de cultiver des palmiers à Kraa nesrani, serait mal à propos. Alors qu’il a ses zriba à Aghsseissila, à Atar. Maurice Benza, lui, fait beaucoup à Akjoujt, et rien de plus normal.
Ahmed Ould Mouknass, quant à lui, est de Nouadhibou. Et lui revient de réaliser les projets économiques durables pour régénérer des revenus au profit de la population de Nouadhibou, et aider ses concitoyens à El Ghirane.
Il lui revient également de poursuivre en justice Ahmed Ould Meni qui a détourné l’argent de la famille Mouknass en complicité avec d’autres petits voleurs mesquins et ingrats.
De toute façon, le secteur de la pêche n’existe plus que sur papier. Et Sy Adama, l’actuel ministre des pêches est complément déboussolé.
Pour mieux faire, il doit consulter les archives pour prendre connaissance de la nouvelle politique de pêche qui avait été élaborée en documents majestueux (nouvelle politique de pêche), du temps de l’ex ministre des pêches monsieur Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, aujourd’hui président de la République.
Ce document n’a jamais été mis en œuvre parce que, Sidioca ne veut pas toucher aux intérêts de la Mafia du secteur.
Puisque maintenant le même Sidioca est devenu président de la République, pourquoi ne pas essayer de mettre en œuvre cette politique de pêche. Ley.
De toute façon, ce n’est pas Sy Adama, le fossoyeur de l’agence d’exécution des microprojets (projet Assaba entre autres), qui va assainir le secteur de la pêche.
Sy Adama, le ministre UDP doit être jugé pour détournement des fonds publics puisque l’occasion va se présenter maintenant avec la mise en place imminente de la haute cour de justice.
Il est urgent de trouver une solution adéquate pour arrêter le dépeuplement de la ville de Nouadhibou.
En effet, les gens sont entrain de quitter la ville pour Dakhla, Leayoun ou Nouakchott.
Petit à petit, Nouadhibou se vide de ses habitants.
La criminalité et la drogue remplacent les anciennes activités paisibles de commerce et d’emploi.
La dernière secousse sismique enregistrée dans la localité de Nouamghar va certainement avoir des conséquences graves pour la pêche, parce que, selon des études crédibles, il y’a risque d’émigration du poisson vers les zones marocaines.
L’arrêt biologique de septembre prochain doit être l’occasion de réfléchir sur des états généraux de la pêche, puisque c’est la mode aujourd’hui.
Que la terre tremble sur la côte mauritanienne ou dans les fonds marins, les armateurs mauritaniens voraces continuerons à piller nos côtes et à collaborer avec les bateaux aspirateurs étrangers jusqu'au dernier poisson, sans souci pour l’intérêt général et la préservation de la ressource. Et ce n’est pas eux qui vont trembler, quand les espèces de poissons auront émigré à cause des tremblements sur la côte. Ley.

Le parigot se prépare pour rejoindre les Champs-Elysées.


Ahmed Baba Ould Ahmed Miske, au crépuscule de l’âge, n’arrive pas à se tasser.
Il aura tout essayé pour retrouver son diapason (Sahara, ADIL, etc.), mais rien n’est fait.
Il a même essayé les contrats sociaux, puis se fut le mariage avec Sidioca. Les alliances qu’il fait et défait rappellent Kaddafi des années 80 : il saute sur le Maroc, puis il se remarie avec la Tunisie ; il divorce de nouveau pour une fusion "éternelle" avec l’Egypte, puis il propose son mariage à la Syrie. Enfin, il tourne le dos aux arabes pour se faire appeler "Mouamar l’africain" aux boubous couleur argile.
Ahmed Baba Miske, c’est comme ça aussi : il essaie le PRDS puis il fit une randonnée dans les différentes composantes de ADIL et réussit même à se faire nommer chargé de missions à la présidence, pour faire le haimassou de Sidioca.
Et finalement, il se retrouve dans la rue avec son éternel cartable d’écolier classe CM2. Ley.
Mais attention, chaque fois que Ahmed Baba Miske rejoint un camp, c’est la perte. Donc parlementaires démissionnaires de ADIL, faites attention au guignard qui vous rejoint, soi-disant. Bonne odyssée, Miské.

dimanche 3 août 2008

Interview présidentielle sur Aljazeera: Sidioca est-il atteint de la maladie de parkinson (détérioration de la mémoire) ?


Israël est à son cinquième ambassadeur à Nouakchott, alors que Ahmed Ould Teguedi est toujours en place à Tel-Aviv, depuis 13 ans. Tout le monde se le rappelle aujourd’hui, parce que tous les mauritaniens ne sont pas courts de mémoire.
C’était en 1995, lors de la conférence de Barcelone. La Mauritanie et Israël établissent des relations diplomatiques avec l’ouverture dans leurs ambassades respectives, des bureaux d’intérêts.
La Mauritanie désigna alors Ahmed Ould Teguedi comme chef de bureau à Tel-Aviv et Israël nomma Gabriel Azoulay.
Deux ans après, Ould Teguedi fut promus ambassadeur à Tel-Aviv et Gabriel Azoulay fut remplacé par Freddy Eytan, et c’est toujours Teguedi qui est en place pour la Mauritanie.
Le mandat de Freddy terminé, ce fut le tour de l’ambassadeur Mark Karel, et c’est toujours Teguedi qui reste à Tel-Aviv.
Enfin, c’est le tour du journaliste Bach qui vient juste de prendre congé de Sidioca et la momie égyptienne Ould Teguedi est toujours en place à Tel-Aviv.
Au fait, ça sert à quoi notre ambassade à Tel-Aviv, cette ambassade la plus coûteuse et la moins rentable ?
La seule utilité de notre présence à Tel-Aviv est d’aider Israël à légaliser le génocide quotidien des palestiniens.
Les israéliens disent : « voilà notre cause est juste parce que nous avons des ambassades dans tous les Etats arabes. »
Pourquoi garder aussi le même ambassadeur Ould Teguedi, alors qu’Israël a renouvelé cinq fois ses ambassadeurs ?
Selon des sources proches du forgeron, nouveau président de la HAPA, monsieur Idoumou Ould Mohamed Lemine, précédemment conseiller de Sidioca, le poste d’ambassadeur à Tel-Aviv n’est pas convoité, parce qu’aucun mauritanien ne chercherait à mourir en terre israélienne usurpée de ses vrais propriétaires.
Ahmed Ould Teguedi serait pris en otage malgré lui, parce que, personne ne veut de ce poste, mais ça l’arrange quand même, coté argent ( il perçoit un salaire faramineux et tous ses frais sont pris en charge par l’Etat mauritanien).
Sidioca quant à lui, semble complètement perdre la mémoire sur le sujet relation Mauritanie/Israël.
Il affirme en effet, haut et fort sur Eljazzera, qu’il n’a jamais dit de soumettre au peuple mauritanien le maintien ou non des relations diplomatiques avec l’Etat sioniste.
Vous oubliez malheureusement, monsieur Sidioca, que maintenant, le système électronique et électromagnétique est à la portée de n’importe qui, et que vos discours de campagne sont enregistrés.
Même si on sabote les archives de TVM et de Radio Mauritanie, vos discours de campagne sont enregistrés et conservés par des particuliers, surtout la partie où vous dites bel et bien, qu’il appartient au peuple mauritanien de décider, par voie référendaire, le maintien ou la rupture des relations avec Israël. Vous avez même répété cela plus d’une fois. Ley.
Même si on accepte votre évaluation de ces relations, quel argument avez-vous, en dehors du lourd fardeau de l’entretien de Ould Teguedi à Tel-Aviv ?
Deuxième symptôme de parkinson : vous avez dit que la visite du Roi Mohamed VI, n’a jamais été fixée en Mauritanie.
Eh bien, c’est faux. Le petit chacal qui se trouve au nord de Oualata, sait que sa Majesté le Roi Mohamed VI devait venir à Nouakchott le 15 juin 2008, mais il y’a eu report, coté marocain, pour des raisons évidentes, entre autres Messouderies au Maroc et Wagheferies, lors de la commission mixte algéro-mauritanienne.
Les deux hommes ont mis leurs pieds de pachyderme dans les tebsil (plats).
Ce n’est pas la première fois que l’affaire du Sahara fasse des victimes, parce que, déjà en 1981, Ahmedou Ould Abdella dit le somalien, et à l’époque ministre des Affaires Etrangères fut limogé pour une histoire de documents qu’il aurait signés à Tripoli avec les sahraouis.
Vous avez parlé aussi de la Fondation de votre épouse KB, et là vous nous faites découvrir un secret de polichinelle : c’est que vous aimez votre épouse à la folie et que vous lui donnez tout : ¼ de votre salaire à sa fondation et les ¾ à elle-même : le compte est bon. Ley.
Ça, c’est d’ailleurs à votre honneur, mais vous ne devez pas, en tant que président de la république, inviter les autres à faire de même, parce que c’est une incitation à la corruption !
Sachez quand même au passage, que les mauritaniens ont une très bonne mémoire "parce qu’ils mangent tous le poisson" (s’il en reste après l’affaire des bateaux aspirateurs qui sont toujours dans les côtes mauritaniennes, après votre passage de ministre des pêches de Moaouiya…).
Parlons-en un peu des réfugiés, parce que c’est le seul point que vous n’avez pas oublié et qui vous est très cher dans votre programme de campagne, tout simplement parce que vous voulez tellement incriminer Moaouiya dans cette affaire, à tel point que vous avez incriminé, inconsciemment, tous les autres mauritaniens. Ley Sidioca président "qui rassure" !
Les vrais réfugiés sont revenus s’installer bien avant votre retour du Niger, à l’époque de Moaouiya.
Maintenant, vous êtes obligés de faire du Tmerwin en cherchant des réfugiés partout. C’est ce qu’on appelle être coincé ! N’est-ce pas, Sidioca ?
Coté esclavage, dont vous faites une fierté absolue, rien n’a changé non plus. Ceux qui sont esclaves restent esclaves même si votre loi les libère. Ley.
Demander cela à votre ami Boubacar Ould Messoud de SOS ESCLAVES, parce que bonne charité commence par soi-même et lui, c’est un HAPNOL (harnos psychologiquement non libéré).
Vous vous vantez également d’avoir un agenda : mais à part le cadeau que vous avez fait à Moissa Fall, le djambour de Lahwach, les réfugiés n’ont rien vu et ceux que vous avez emmenés préfèrent revenir au Sénégal et au Mali.
Maintenant, qu’il a bien plu au Brakna, Lakhbaar tebgue vi dar, suggère à Sidioca de prendre quelques mois de repos à Lemden pour se mettre au lait des vaches qui viennent de mettre bas. Il parait que c’est très bon pour toutes les maladies, et surtout ça rafraîchit la mémoire…

vendredi 1 août 2008

Guerre des gargotes : "l’huile" brûle toujours entre Khattri Ould Dié et Sid'El Moctar Sydonia.


Après la fermeture de la gargote de l’amicale des douanes, fief de Sid'El Moctar Ould Ely alias Ould Sydonia, ce dernier a voulu transférer son restaurant vers les bureaux des douanes du port de Nouakchott (PANPA), où se trouve déjà la gargote de Khattri Ould Dié, alias président de mon œil et, protégé du colonel DGD (directeur général des douanes).
Bien sûr, Khattri, très informé (parce que lui-même indicateur), a refusé d’avoir comme voisin au PANPA, un autre gargotier.
Il tient à avoir le monopole des ragoûts (pour ne pas dire ragots), servis aux douaniers, des plus gradés, jusqu’aux préposés.
Selon des informations en provenance des bureaux des douanes du PANPA, (difficiles à vérifier parce qu’inaccessibles par les temps qui courent) et, dans une note style Sydonien, le colonel des douanes Sid'El Moctar premier, aurait défendu son cas auprès du DGD : il avancerait, entre autres arguments que, la gargote de l’amicale des douanes, actuellement itinérante, fournit un service meilleure qualité que celle de Khattri Ould Dié et elle est même moins chère ; Khattri n’est pas douanier alors que la gargote sydonienne est un patrimoine de la douane, et rien de plus normal qu’elle soit au service de la douane, donc des douaniers.
Alors, elle doit être à leur proximité. Si Khattri "président" des idewich ne veut pas cohabiter, il n’a qu’à déguerpir ou ouvrir sa gargote à la Sûreté Nationale ou au BASEP, où il sous-gargote déjà.
D’autre part, souligne Sid'El Moctar, le contrat qui lie les bureaux 12 et 13 du PANPA à la gargote de Khattri, est illégal et injuste parce que ce gargotier pompe les TS des pauvres douaniers pour un service non rendu, étant donné que les douaniers n’y mangent pas pour des raisons d’hygiène.
Aussi, à l’approche du mois béni de ramadan, c’est la gargote de l’amicale qui est en mesure de satisfaire les besoins des douaniers.
Il appartient maintenant au DGD de trancher, et il se trouve devant un dilemme : d’un coté, Khattri est une mauvaise langue de vipère et il est de la même collectivité locale que lui ; d’autre part, les arguments sydoniens sont très solides pour être ignorés.
Va-t-on alors vers un mariage de gargotes pour accoucher sur un accouplement des deux gargotiers Sid'El Moctar sydonia et Khattri "président". Tout est possible sous l’ère Sidioca. Ley.

HAPA : Un journaliste peshmerga aux commandes.


Décidemment, Sidioca n’en finit pas de nous surprendre. Même les forgerons ont leur part dans la givé (carcasse d’animal abandonnée).
On pensait qu’après son retour de l’Andalousie, Sidioca allait être plus inspiré parce qu’ayant respiré l’air de Ibn Zeidoune, ministre Andalous, poète de tous les temps et "fou" de la belle princesse Wallada et que, KB allait aussi s’enrichir de la grande renommée de cette dernière, dont les salons abritaient le cénacle de la grande épopée des béni Abbad.
Selon le protocole de Teiss, Sidioca se serait, quand même, adressé, à son épouse bien-aimée Khattou, en récitant le poème suivant de Ibn Zeidoune :
أضحي التنائي بديلا من تدانينا
وناب عن لقيأنا تجافينا

Mais, rien de tout cela après le retour de l’empereur Sidioca et de l’impératrice Khattou, qui ont utilisé leur rencontre avec la communauté mauritanienne en Espagne, pour fustiger les parlementaires mauritaniens !
Et comme cadeau de retour en Mauritanie, Sidioca nous nomma un forgeron à la tête de la HAPA avec un traitement mensuel de plus de deux millions d’ouguiyas, pour ne rien faire. C’est la gabegie, n’est-ce pas ? Ley.
En forgeant de toutes pièces cette nomination de monsieur Idoumou, Sidioca a choisi d’être le despote de tous les temps…
C’est vraiment aussi la dévaluation de la presse et de sa déontologie !
La nomination de ce pauvre ignorant made in "Ampoule Sidioca" "qui rassure", arrange bien les peshmergas qui, eux s’ennoblissent grâce à cette promotion, d’un ex peshmerga (journal El Moustaghbel dont il est toujours directeur de publication et ex pigiste-peshmerga de Maghreb Hebdo).
Et comme, Idoumou aime bien la tête, la HAPA sera la chose wolof : amoul bopp, amoul guène (ni tête, ni queue). Ley.